Avouez-le, il vous arrive de trouver que les sujets de nos supports sont étonnants ? bizarroïdes ? ultrapointus ? créatifs ? carrément renversants ?
Peut-être aussi pensez-vous que notre humour est parfois pétillant ou décalé ? Que le traitement de nos thématiques est très arborescent, transversal, transdisciplinaire, etc. ?
Vous êtes souvent aussi, agréablement surpris de trouver des ressources originales, qui éveillent la curiosité et ne se retrouvent nulle part ailleurs ?
Et quand votre petit dernier s’intéresse à la guerre de Sécession, aux protozoaires et à la musique pendant l’ère préhistorique, que vous vous demandez où vous allez bien trouver des ressources pédagogiques clé en main, vous êtes bien soulagées de piocher dans nos supports un peu perchés !
Peut-être ne vous êtes-vous jamais posé la question de savoir pourquoi nos cours étaient si étrangement fabuleux et adaptés à toutes les intelligences et curiosités ? Alors, nous avons décidé aujourd’hui de sortir de notre cache et de vous le dire tout de go !
🦓Nos supports sont parfois écrits par et pour des zèbres ! Mais pas comme des cochons !
Entendez par là, des individus décrits comme tels pour la première fois par la psychologue française Jeanne Siaud-Facchin, qui a utilisé cette métaphore pour décrire des personnes avec des rayures (représentant leur singularité) et qui ont souvent des défis particuliers à relever en raison de leur haut niveau de fonctionnement intellectuel et émotionnel.
Et cela leur donne quoi en plus à ces ressources ?
🦓 Des supports qui vont au fond du sujet !
Cela expliquera en partie la multitude de sujets et thématiques que nous maîtrisons avec joie et enthousiasme dans tous nos supports (lapbooks, notebooks, carnets et jeux à fabriquer). Les « zèbres » ont souvent un fort désir d’apprendre et de comprendre le monde qui les entoure. Ils peuvent être profondément curieux et s’investir intensément dans la recherche de nouvelles informations et de nouvelles expériences. Quand on vous propose un notebook sur la Première guerre mondiale, il ne fait pas 20 pages et ne se contente pas de survoler le conflit, mais il balaye le sujet de long en large et en travers ! D’ailleurs Isableue, on l’intègre cette fiche sur la musique subliminale inversée ? et celle sur les hadrons, Axelle, on ne va tout de même pas la laisser de côté ? C’est tellement intéressant !
🦓 De la passion et du talent au service des apprentissages
C’est aussi pour cela que nos talents, expériences et passions transpirent à travers nos lapbooks ! Les « zèbres » sont souvent passionnés en raison de leur fonctionnement neuro-atypique qui se caractérise par une intelligence particulière, qu’elle soit cognitive ou émotionnelle. Notre curiosité constitue un véritable atout pour nos cours. Animées par une curiosité intellectuelle intense, nous cherchons constamment à comprendre le « pourquoi » et le « comment » des choses. C’est pourquoi nous vous proposons des sujets profonds et remettons parfois en question les idées préconçues. Nous faisons tout pour inviter les apprenants à rechercher des réponses et à approfondir leur compréhension.
🦓 Oui à la créativité !
Créativité et inventivité sont des ingrédients qui viennent toujours épicer nos curriculums. Ils possèdent ce petit plus qui fait pétiller les intelligences et procurent du bonheur à apprendre autrement. Les « zèbres » peuvent avoir un grand intérêt pour les arts, tels que la musique, la littérature, les arts visuels, le théâtre, etc. Ils peuvent également exprimer leur créativité à travers l’écriture, la peinture, la composition musicale, la danse, et d’autres formes d’expression artistique.
A fond l’autonomie
Parce qu’il nous est arrivé d’apprendre de façon autodidacte, nous permettons à tous d’acquérir autonomie et indépendance en proposant des ressources où chacun pourra s’impliquer personnellement. Nos guides multimédias sont remplis de liens à explorer et invitent à entrer dans des projets d’apprentissage auto-dirigé.
Relever des défis intellectuels
Nous aimons résoudre des problèmes complexes et stimulants. C’est pourquoi nous cherchons des solutions novatrices d’apprentissage en science, technologie, mathématiques et autres domaines plus ou moins académiques.
🦓 Un style d’apprentissage varié
Tout le monde le sait, les zèbres se suivent, mais ne se ressemblent pas complètement. A chacun ses belles rayures ! Avec plusieurs zèbres à la conception de supports et au moins 8 enfants haut-potentiel en IEF, nous avons mis au point des outils adaptés à beaucoup d’individualités, d’intelligences et de préférences. Nous adoptons toujours une approche holistique et multidimensionnelle de l’apprentissage, en utilisant diverses méthodes, outils et approches permettant à tous d’acquérir des connaissances et comprendre les concepts. Nous sommes créatifs dans notre approche de l’apprentissage, et utilisons les multiples techniques à notre disposition pour faciliter et approfondir la compréhension.
🦓 Un engagement social impératif
En plus de nous investir à fond la passion dans les cours que nous vous offrons, nous sommes impliqués dans des causes sociales et nous activons dans des questions qui nous tiennent à cœur, comme l’éthique, la justice, l’écologie, et cherchons à apporter des changements positifs dans la société. Pour exemple, une partie de nos recettes est reversée à des associations (SOS Villages d’enfants, Fondation Jérôme Lejeune, Unicef, Les Blouses roses). Certains sujets sont clairement engagés (pour et contre) : Le rêve de Martin Luther King, La double vie des déchets de plastique, Le carnet du citoyen.
Est-ce que notre annonce vous étonne ? Vous vous en doutiez ?
Voici une liste non exhaustive des avantages des ressources pédagogiques à télécharger
Les ressources pédagogiques à télécharger peuvent voyager
Les ressources téléchargeables peuvent être mises à disposition en ligne, ce qui permet à un large public d’y accéder de n’importe où dans le monde. Cela élimine les barrières géographiques et temporelles, permettant aux apprenants d’accéder aux ressources à tout moment qui leur convient. A vrai dire, on apprécie que nos supports s’envolent au-delà des frontières françaises pour être utilisés dans près de 150 contrées différentes. La carte suivante ne tient pas compte des données de la France, pour éviter d’invisibiliser les autres pays.
Les ressources pédagogiques à télécharger facilitent les mises à jour et les corrections
Les ressources téléchargeables peuvent être facilement mises à jour ou corrigées en cas d’erreurs ou de nouvelles informations. Il suffit de télécharger la dernière version, ce qui garantit que les apprenants ont toujours accès aux informations les plus récentes. Nous révisions les guides interactifs tous les 2 ans. Dès qu’une satanée coquille (n’est-ce pas Axelle) est décelée, Carpediem s’empresse de reprendre le texte ou les activités pour que nos habitués n’en souffrent pas ! Chez carpediem, nous cultivons la perfectibilité !
Les ressources pédagogiques à télécharger sont personnalisables
Les ressources téléchargeables offrent souvent aux éducateurs, enseignants et apprenants, la possibilité de personnaliser le contenu en fonction de leurs besoins spécifiques. Par exemple, certaines ressources peuvent être adaptées à différents niveaux de compétence, à différents styles d’apprentissage ou à des objectifs spécifiques. On peut décider de n’imprimer qu’une partie des documents correspondant aux attendus d’une année scolaire ou non-scolaire. Les autres pages serviront à la rentrée (non-rentrée) suivante ou pour un autre enfant. Découvrez 60 trucs formidables à ajouter dans un lapbook et 60 trucs géniaux à ajouter dans un notebook pour les personnaliser.
Les ressources pédagogiques à télécharger permettent l’interactivité et les contenus multimédia
Les ressources téléchargeables peuvent contenir des éléments interactifs tels que des quiz, des vidéos, des animations, des liens hypertexte, etc. Cela permet d’enrichir l’expérience d’apprentissage et d’engager davantage les apprenants. Tous nos supports, des lapbooks aux carnets, en passant par les grimoires, jeux en chemise et les notebooks regorgent d’interactivité. Nous vous proposons des jeux en ligne, des documentaires, des animations et plein d’autres surprises qui font pétiller la curiosité et sauvegardent intact, le plaisir d’apprendre.
Elles réduisent les coûts
Les ressources pédagogiques à télécharger s’avèrent souvent plus économiques que l’achat de matériel imprimé.
Les ressources pédagogiques sont facile d’accès
Les ressources téléchargeables peuvent être stockées sur des appareils électroniques tels que des ordinateurs, des tablettes ou des smartphones, ce qui permet aux apprenants de les emporter facilement avec eux et de les consulter à tout moment. Cela libère aussi de la place sur les étagères !
Et le livre imprimé alors ? Carpediem le renie-t-elle ?
Oh que nenni ! Carpediem sait que certains (comme nous !) aiment parfois avoir de vrais livres en main ! Pas vrai ? C’est doux, ça sent bon, le feuilletage apporte un bien fou (de la zénitude dirait Isableue). Carpediem se doute que certains de nos habitués aiment avoir à disposition un livre prêt à l’emploi ! C’est pourquoi nous proposons à ce jour déjà deux supports pédagogiques en version imprimée. Vous pouvez même entreprendre des séances d’ASMR avec nos carnets… on ne vous en voudra pas !
Un notebook c’est… un outil qui favorise la créativité : Le « notebooking » est une approche éducative qui encourage les élèves à créer des cahiers/classeurs personnalisés pour documenter et approfondir leur apprentissage. C’est une méthode de prise de notes créative qui peut être utilisée dans divers contextes d’apprentissage, y compris à l’école, à la maison ou dans d’autres environnements d’apprentissage informels (clubs, ateliers,etc.). Les élèves peuvent utiliser des cahiers vierges, des feuilles à insérer dans un classeur ou des cahiers à pages lignées pour écrire, dessiner, coller des images, des cartes, des graphiques, des diagrammes, et d’autres éléments visuels pour documenter leurs connaissances, leurs réflexions et leurs découvertes. Il peut aussi s’agir de fiches prêtes à l’emploi à renseigner.
Pour découvrir les fiches de notebooks prêtes à l’emploi conçues par Carpediem, on vous propose deux gratuits :
Un notebook c’est… un support adapté à l’étude de tous les sujets de curiosité : Le notebooking peut être utilisé dans divers domaines de l’apprentissage, tels que la science, l’histoire, la géographie, la littérature, les arts et bien d’autres. Les élèves peuvent personnaliser leurs cahiers en fonction de leurs intérêts, de leur style d’apprentissage et du sujet étudié. Cela leur permet d’exprimer leur créativité, de renforcer leur compréhension du contenu d’apprentissage et de développer leurs compétences en organisation, en présentation et en réflexion critique.
Un notebook c’est… un tremplin vers l’autonomie : Le recours aux notebooks peut favoriser l’autonomie de l’apprenant, car il permet aux élèves de prendre en charge leur propre apprentissage en prenant des décisions sur la manière d’organiser leur cahier, quelles informations inclure et comment les présenter. Cela peut également encourager l’engagement actif des élèves dans leurs études, car ils sont impliqués dans la création de leurs propres ressources d’apprentissage.
Qu’est-ce que le notebook n’est pas ?
Un notebook n’est pas :
Un notebook ce n’est pas… un simple cahier de prise de notes : Bien que les notebooks puissent être utilisés pour prendre des notes, ils sont bien plus que cela. Ils sont conçus pour être des outils d’apprentissage interactifs et personnalisés, permettant de consolider et d’organiser les informations, de réfléchir, de synthétiser et d’exprimer ses propres idées et opinions.
Un notebook ce n’est pas … Un recueil passif d’informations : Un notebook n’est pas destiné à être simplement un recueil passif d’informations copiées-collées ou collectées sans réflexion. Il doit être un outil actif d’engagement personnel dans le processus d’apprentissage, impliquant une réflexion, une synthèse et une mise en relation des informations.
Un notebook ce n’est pas…un substitut à l’apprentissage actif : Un notebook ne remplace pas une véritable participation active à l’apprentissage. Il est important de ne pas simplement se fier à un notebook pour assimiler les informations, mais plutôt de l’utiliser comme un outil pour soutenir et renforcer l’apprentissage actif, en impliquant une compréhension profonde, une réflexion critique et une application pratique des connaissances.
Un notebook ce n’est pas…un document figé: Un notebook n’est pas destiné à rester figé une fois créé. Il doit être régulièrement révisé, mis à jour et amélioré en fonction de l’évolution de l’apprentissage et des besoins de l’apprenant. Il ne s’agit pas simplement d’un produit final, mais plutôt d’un outil en constante évolution pour soutenir le processus d’apprentissage.
Un notebook ce n’est pas…un devoir ou une tâche imposée : Un notebook n’est pas une tâche imposée ou une corvée, mais plutôt un outil d’apprentissage personnalisé et flexible qui peut être adapté selon les préférences et les besoins de l’apprenant. Il doit être utilisé de manière autonome et volontaire pour maximiser ses avantages. Il procure beaucoup de plaisir aux jeunes. Lire Les 10 raisons qui font que nos enfants aiment les notebooks.
Quels sont les points forts des notebooks ?
Créativité et personnalisation : Le notebooking permet aux élèves de créer leurs propres cahiers personnalisés en utilisant leur créativité pour organiser et présenter les informations d’apprentissage de manière qui leur est propre. Cela peut encourager leur engagement et leur motivation, car ils sont impliqués dans la création de leurs propres ressources d’apprentissage, ce qui peut les rendre plus investis dans leur travail scolaire. Lire 60 trucs géniaux à ajouter dans un notebook.
Autonomie et responsabilité: Le notebooking encourage les élèves à prendre en charge leur propre apprentissage en leur permettant de prendre des décisions sur la manière d’organiser leur cahier, quelles informations inclure et comment les présenter. Cela peut renforcer leur autonomie et leur responsabilité envers leur propre apprentissage, car ils doivent gérer leur propre cahier et décider comment organiser leurs idées et leurs informations.
Compréhension approfondie : Le processus de création d’un cahier/classeur de notebooking oblige les élèves à synthétiser, organiser et présenter les informations d’apprentissage de manière significative. Cela peut les aider à approfondir leur compréhension du contenu d’apprentissage en leur permettant de réfléchir de manière critique, de faire des liens entre les concepts et de créer une représentation visuelle de leurs connaissances.
Flexibilité et adaptabilité : Le notebooking offre une approche flexible et adaptative de la prise de notes, car il permet aux élèves de choisir le format, le style et les éléments visuels qu’ils souhaitent inclure dans leur cahier en fonction de leurs préférences et de leur style d’apprentissage. Cela peut s’adapter à différents types d’apprenants et leur permettre de s’exprimer de manière authentique.
Mémorisation de l’information : La création d’un cahier de notebooking peut favoriser la rétention de l’information, car elle encourage les élèves à organiser les informations d’apprentissage de manière significative, à les écrire à la main, à les dessiner et à les réfléchir de manière critique. Cela peut aider les élèves à mieux retenir et à mieux comprendre les concepts d’apprentissage.
Parfaite « trace écrite » : Les cahiers de notebooking peuvent servir de portfolio d’apprentissage, où les élèves peuvent conserver leurs travaux, leurs réflexions et leurs réalisations tout au long de l’année scolaire. Cela leur permet de voir leur progression et leur croissance dans leur apprentissage au fil du temps. Il fera le plus bel effet lors des contrôles d’IEF.
Peut-on rater un notebook ?
On rate très rarement un notebook, car il s’agit d’un outil d’apprentissage personnalisé et flexible. Cependant, voici quelques points à éviter si vous souhaitez optimiser l’utilisation d’un notebook :
Manque d’organisation : Ne pas organiser les informations de manière claire et logique peut donner un notebook confus et difficile à utiliser ultérieurement. Il est important de prendre le temps de structurer les informations, de les classer par thème, de les dater et de les étiqueter pour faciliter la recherche et la révision ultérieure.
Copier-coller sans réflexion : Copier-coller simplement des informations sans les comprendre ou les réfléchir peut donner un notebook superficiel qui ne favorise pas une réelle compréhension ou appropriation de l’apprentissage. Il est important de prendre le temps de réfléchir, de reformuler et de synthétiser les informations pour les intégrer réellement.
Manque d’engagement personnel : Ne pas ajouter sa propre créativité, ses réflexions personnelles ou ses illustrations peut rendre un notebook peu stimulant et peu motivant. Il est important de s’investir personnellement en ajoutant sa propre touche créative, en faisant des liens avec ses expériences personnelles et en exprimant ses idées et opinions pour tirer pleinement parti de l’outil.
Absence de révision et de mise à jour : Ne pas réviser ou mettre à jour régulièrement son notebook peut entraîner un manque d’efficacité et de pertinence dans le temps. Il est important de revoir régulièrement son notebook, d’ajouter de nouvelles informations, de corriger d’éventuelles erreurs et de le garder à jour pour qu’il reste un outil d’apprentissage efficace.
Utilisation irrégulière : Ne pas utiliser régulièrement son notebook peut entraîner un manque d’efficacité dans son utilisation. Il est important de l’utiliser activement et régulièrement pour prendre des notes, réfléchir, organiser ses idées et consolider son apprentissage.
En résumé, pour optimiser l’utilisation d’un notebook, il est important d’organiser les informations de manière claire, de réfléchir activement aux contenus, d’ajouter sa créativité et ses réflexions personnelles, de réviser et de mettre à jour régulièrement, ainsi que d’utiliser activement et régulièrement l’outil. En évitant ces écueils, vous pouvez maximiser les avantages d’un notebook dans le cadre de votre apprentissage.
Quels sont les sujets traités avec le notebooking ?
Le notebooking peut être utilisé pour traiter une grande variété de sujets, que ce soit dans le cadre de l’éducation formelle ou de l’apprentissage autonome. Voici quelques exemples de sujets qui peuvent être abordés avec le notebooking :
Sciences : Le notebooking peut être utilisé pour prendre des notes, organiser des informations, dessiner des schémas et enregistrer des observations dans des domaines tels que la biologie, la chimie, la physique, l’astronomie, la géologie, etc. Les notebooks peuvent servir à documenter des expériences, à enregistrer des données, à présenter des résultats et à réfléchir sur les concepts scientifiques.
Notre gratuit « Fiches notebook « vous propose quelques pages dédiées aux apprentissages scientifiques.
Histoire et géographie : Le notebooking peut être utilisé pour étudier l’histoire, la géographie, la culture, les civilisations, les événements historiques, les personnages célèbres, les lieux importants, etc. Les notebooks peuvent servir à organiser des informations, à créer des chronologies, à dessiner des cartes, à écrire des récits historiques et à analyser les événements passés.
Langues étrangères : Le notebooking peut être utilisé pour pratiquer et renforcer l’apprentissage des langues étrangères, en enregistrant du vocabulaire, des phrases, des expressions, des règles grammaticales, etc. Les notebooks peuvent servir à pratiquer l’écriture, la lecture, l’écoute et la communication dans une langue étrangère.
Français et littérature : Le notebooking peut être utilisé pour étudier des œuvres littéraires, analyser des personnages, des thèmes, des éléments de l’intrigue, etc. Les notebooks peuvent servir à prendre des notes de lecture, à écrire des résumés, à créer des analyses littéraires, à exprimer des opinions et à présenter des critiques.
Découvrez notre notebook Histoire en chansonsdont le parti pris est d’étudier l’histoire et le français grâce à des chansons.
La Grammaire enchantée est un notebook qui vous permettra de chanter, danser et rire tout en découvrant avec votre enfant, les notions clés de la grammaire.
Mathématiques : Le notebook peut également être utilisé pour rassembler des problèmes mathématiques, des solutions, des méthodes de résolution, des graphiques, des formules, etc. Les notebooks peuvent servir à organiser et à consolider les concepts mathématiques, à enregistrer des exemples et à présenter des travaux pratiques.
Arts visuels (dessin, musique, etc.) : Le notebooking peut être utilisé pour exprimer sa créativité et son expression artistique, en enregistrant des dessins, des peintures, des collages, des poèmes, des histoires, des idées créatives, etc. Les notebooks peuvent servir de carnet de croquis, de journal d’artiste, de cahier de créativité et de moyen d’explorer et de développer sa créativité.
La calligraphie est un notebook qui vous familiarisera avec l’histoire et la technique de la calligraphie.
Projets personnels : Le notebooking peut être utilisé pour documenter et organiser des projets personnels, tels que des voyages, des hobbies, des expériences de vie, etc. Les notebooks peuvent servir de journal de bord, de carnet de voyage, de cahier de projets et de moyen de garder une trace de ses expériences et de ses réflexions.
Des notebooks pour qui ?
Le notebooking peut s’adresser à différents âges, du primaire jusqu’à l’âge adulte. Il est important de noter que le contenu et le niveau de complexité des notebooks peuvent être adaptés en fonction de l’âge, des intérêts, des besoins et du niveau de développement de chaque individu. Les notebooks sont flexibles et peuvent être utilisés de manière adaptée à différents âges et niveaux d’apprentissage.
Enfants d’âge préscolaire (3-5 ans) : Les notebooks pour les tout-petits peuvent se concentrer sur des activités de dessin, de coloriage, de collage et d’écriture précoce. Ils peuvent servir à développer la motricité fine, la créativité et la familiarité avec les formes, les couleurs et les lettres.
Carpediem a intégré le principe du notebooking dans des supports adaptés aux plus jeunes. Il s’agit de notre collection de Carnets.
Enfants d’âge primaire (6-11 ans) : Les notebooks pour les enfants d’âge primaire peuvent être utilisés pour organiser les informations, prendre des notes, écrire des récits, dessiner, créer des cartes, etc. Ils peuvent servir à approfondir les connaissances dans différentes matières, à développer la créativité, l’organisation et les compétences en écriture.
C’est le cas du notebook Le Petit Chaperon rouge.
Adolescents (12-17 ans) : Les notebooks pour les adolescents peuvent être plus complexes, avec des activités d’organisation, de recherche, d’analyse et d’expression plus avancées. Ils peuvent servir à approfondir les connaissances dans des domaines d’étude spécifiques, à développer les compétences en écriture académique, à préparer des projets de recherche, etc.
Adultes (18 ans et plus) : Les notebooks peuvent également s’adresser aux adultes, que ce soit pour des activités d’apprentissage continu, de créativité, de développement personnel ou professionnel. Les notebooks peuvent être utilisés pour prendre des notes lors de formations, de conférences, de réunions, pour organiser des projets personnels ou professionnels, etc.
Utilisez-vous les notebooks ? Envoyez-nous vos réalisations !
Le LTT (lapbook tout-terrain), est un vélo lapbook destiné à tous types de terrain d’apprentissage. Il sert pour diverses activités individuelles ou collectives réglementées par aucune fédération ! Autrement dit, les aventureux, les créatifs et les cerveaux sportifs pourront s’adonner au LTT sans frein en explorant des sujets qui feront reculer l’ignorance. Avec le LTT (lapbook tout-terrain), roulez sur la bosse des maths, escaladez les reliefs géographiques, dévalez les chemins de l’Histoire ou les côtes du corps humain, sans oublier l’ascension professionnelle.
Bref, vous l’avez compris, ce que l’on veut vous expliquer, c’est que le LTT (lapbook tout-terrain) se prête à tous les intérêts et les objectifs pédagogiques de l’apprenant qui l’enfourche. Nous appellerons l’utilisateur du LTT, un « éltétiste » mais pas un élitiste ! car le LTT (lapbook tout-terrain) se veut démocratique, accessible à tous, quel que soit l’âge, le niveau d’études, la profession et les centres d’intérêt !
Pourquoi les lapbooks sont-ils tout-terrain ?
Parce que les lapbooks sont utiles pour toute personne cherchant à organiser de manière créative et visuelle des informations et des idées sur un sujet spécifique.
Parce que les lapbooks peuvent être le support à divers projets éducatifs
Parce que les lapbooks soutiennent des activités d’apprentissage interactives.
Parce que les lapbooks encouragent la créativité, l’expression artistique et l’apprentissage actif.
Parce que les lapbooks constituent un excellent moyen pour les éltétistes de démontrer leur compréhension d’un sujet de manière créative et interactive.
Parce que les lapbooks permettent aux apprenants/utilisateurs de mieux organiser et comprendre les informations tout en encourageant leur créativité et leur imagination.
Parce que les lapbooks facilitent le travail de synthèse.
Les bibliothécaires pour organiser des activités en bibliothèque ;
Les animateurs pour les activités en centre de loisirs, en colonies de vacances, etc.
Les professionnels de la communication pour des présentations, des formations ou des projets de développement interne à l’entreprise.
Les membres d’une même société lors d’un travail en équipe pour encourager la réflexion et la collaboration entre les membres.
Dans les formations en entreprise : Les lapbooks peuvent être utilisés pour organiser et présenter des informations clés lors de formations ou de séminaires. Les participants peuvent créer leur propre lapbook pour consolider leur apprentissage et faciliter la mémorisation.
Dans les présentations de projets : Les lapbooks peuvent servir de support visuel pour présenter des projets professionnels ou des rapports. Ils serviront à organiser et présenter des données, des graphiques, des images, des textes et des documents connexes.
Dans la communication d’entreprise : Les lapbooks peuvent être utilisés pour communiquer efficacement des informations importantes aux employés, aux clients ou aux partenaires. Les lapbooks peuvent être utilisés pour expliquer les produits, les services, les politiques et les procédures de l’entreprise de manière visuelle et interactive.
Dans les programmes de développement professionnel : Les lapbooks peuvent être utilisés pour faciliter le développement professionnel des employés en organisant et en présentant des informations clés sur les compétences et les connaissances nécessaires pour réussir dans leur travail.
Un employé pourrait également créer un lapbook pour démontrer ses compétences professionnelles, telles que la gestion de projet, l’analyse de données ou la présentation de rapports. Le lapbook pourrait contenir des exemples de projets réussis, des témoignages clients ou des données statistiques pour démontrer les compétences de l’employé.
Pour un entretien d’embauche : c’est ce qu’a fait l’une d’entre nous, la semaine dernière. Ce fut très apprécié. Grâce à ce support, elle a mené cette rencontre en s’appuyant sur un document synthétique et interactif reprenant les éléments de son CV et tirant des applications de son expérience professionnelle.
etc.
Les sujets à explorer avec votre LTT (lapbook tout-terrain) ?
Puisque nous venons d’affirmer que les lapbooks s’utilisaient partout, il est évident que les sujets sont modulables à l’infini !
Voici une liste d’idées de sujets non exhaustive en milieu scolaire
Les animaux : Vous pouvez créer un lapbook sur un animal en explorant ses caractéristiques, son habitat, son régime alimentaire et ses comportements.
L’histoire : Créer un lapbook sur une période historique, un événement ou un personnage incontournable, en utilisant des cartes, des mini-livres et des graphiques.
La géographie : Créer un lapbook pour explorer les caractéristiques géographiques d’une région, d’un pays ou d’un continent, y compris les montagnes, les rivières, les forêts, les villes et les cultures locales.
Les sciences : Créer un lapbook pour explorer un sujet scientifique, tel que le corps humain, les plantes ou les animaux, en utilisant des images et des faits intéressants.
La littérature : Créer un lapbook pour explorer un livre, une pièce de théâtre ou un poème, en utilisant des citations, des images et des réflexions personnelles.
Les arts : Créer un lapbook pour explorer un sujet artistique, tel que la peinture, la sculpture, la photographie ou la musique, en utilisant des images et des informations sur les artistes.
Les langues : présentation des règles grammaticales, de la culture d’un pays.
Quels sujets vous avez étudié grâce aux lapbooks ?
Voici une liste d’idées de sujets non exhaustive en milieu professionnel :
Le développement personnel et le coaching
Les politiques et les procédures de l’entreprise
Les processus d’embauche
Les procédures d’incident
Les politiques de confidentialité
Les produits et les services présentés de manière créative et visuelle : informations sur les caractéristiques, les avantages, les utilisations et les prix des produits et des services de l’entreprise.
Les compétences professionnelles : informations sur la communication, la résolution de problèmes, le leadership, la gestion du temps et autres compétences.
Les procédures de sécurité : informations sur les procédures d’évacuation d’urgence, les équipements de protection individuelle, les procédures de sécurité informatique et autres.
Les normes de qualité : informations sur les processus d’assurance qualité, les critères de qualité, les mesures de qualité et autres.
etc.
Vous êtes « éltétistes » dans un autre domaine ? Dites-le-nous !
Vous n’avez pas suivi de cours de violon avec Yehudi Menuhin ? Ni soutenu de thèse sur les apports de la viole de gambe et du cornet à bouquin dans les opéras de jeunesse de Claudio Monteverdi ? Mais cela ne vous empêche pas d’avoir envie de donner une riche et complète éducation musicale à vos enfants. Parce que vous savez que la musique c’est bon pour la santé ! La question qui vous turlupine est : comment pouvez-vous intégrer à votre IEF la musique si vous n’êtes pas musicien vous-même ?
Eh bien, c’est possible ! Voici quelques excellentes façons d’inclure l’éducation musicale en IEF
1) Lire et écouter des livres d’éducation musicale
Les rayons de notre médiathèque regorgent de livres illustrés sur la musique. Il y en a qui enseignent les instruments de l’orchestre ou les grands compositeurs à travers les âges. Si vous avez besoin de suggestions, demandez à votre bibliothécaire, il saura vous proposer des ouvrages ciblés ! Beaucoup de ces livres dédiés à la musique sont, de nos jours, accompagnés de CD et permettent une bonne immersion auditive.
2) Regarder des comédies musicales
J’adore regarder des comédies musicales avec mes enfants. Certaines sont conçues pour le jeune public (Mary Poppins, Le Magicien d’Oz, etc.), mais vous pouvez aussi parier sur des valeurs sûres telles que les comédies musicales avec Fred Astaire et/ou Ginger Roger, ou plus récentes comme La La land ou Cher Evan Hansen (sujet dramatique, mais tout-public), Greatest Show man, etc.. En les visionnant, avec popcorn et plaids, vous voilà avec une belle idée pour saupoudrer vos apprentissages d’une vague de belles notes ! Carpediem propose aussi plusieurs jeux gratuits pour se familiariser avec les instruments de l’orchestre. Regardez aussi des opéras, des ballets et des retransmissions de concerts donnés dans les plus grandes salles de spectacle du monde. Vos enfants affineront leur écoute et seront capables de reconnaître les oeuvres de qualité.
3) Assister à des spectacles
Surveillez le programme des salles de spectacle de votre région. Il arrive régulièrement que les orchestres proposent des concerts à destination du jeune public. L’œuvre de Prokofiev, Pierre et le loup est souvent interprétée dans les théâtres. Mais vous pouvez bien sûr assister à des œuvres « réservées » aux adultes. En été, les villes organisent des concerts sous leurs kiosques ou dans les parcs. Pensez aussi à consulter la programmation des écoles de musique et conservatoires, il y a parfois de belles surprises pour les petites oreilles curieuses et des auditions de qualité données par les grands élèves et les professeurs. Les médiathèques proposent aussi souvent, des concerts avec solistes ou de la musique de chambre de très bonne qualité. Avant d’assister au concert, discutez avec vos enfants de l’étiquette à respecter : écouter, ne pas être distrait et applaudir (quand il faut !). A votre retour garder une trace de vos aventures auditives, pour votre plaisir personnel ou pour les besoins de votre contrôle pédagogique, en renseignant notre Journal du spectateur. Il convient à tous types de spectacles vivants et même aux rendez-vous sportifs !
🎶 Anecdote à ce sujet : Notre deuxième fille appréciait tout particulièrement l’opéra La Traviata de Verdi. Elle regardait souvent (en boucle !!!), la version filmée de F. Zeffirelli. Je m’aperçus que notre petite ville prévoyait de jouer cette œuvre dans son modeste théâtre. Je réservais donc, 2 places pour y assister avec ma demoiselle. Lever de rideau, premier airs et récitatifs, traits d’orchestre, Alfredo et Violette en duo… Quelle mauvaise surprise et quelle médiocrité. Je ne fis aucun commentaire, ne voulant pas décevoir ma fille qui se faisait une joie d’entendre et voir SON opéra en « vrai ». Le concert s’achève, les spectateurs applaudissent, la (mauvaise) prestation. Je me joins à eux pour ne pas éveiller l’attention de mon enfant…qui se tourne vers moi et me lance « Maman, tu ne trouves pas qu’il chantait mal le ténor ? » Abreuvée de musique de qualité, elle avait su dès 9 ans, repérer la pitoyable prestation à laquelle nous venions d’assister !
4) Utiliser une playlist spéciale « éducation musicale »
Si vous n’êtes pas allergique à la technologie. Vous pouvez vous abonner à Spotify, Amazon Prime Music, Spotify, Pandora ou une autre application musicale. Vous pourrez y créer des playlists sur mesure pour vos Mozarts en herbe. Si vous ne disposez pas d’un tel abonnement, recherchez simplement des playlists sur YouTube ! Chez nous, c’est Alexa qui inonde nos journées de musique en tout genre. En ce qui me concerne, les chansons rythment ma vie et sont souvent le support à des apprentissages transversaux. Il nous arrive donc régulièrement, à partir d’une simple phrase, d’un mot, ravivant un souvenir musical, de demander à Alexa de nous jouer tel ou tel titre, parce qu’un membre de la famille aura prononcer le sésame ! « Maman, Jules César, il était habillé comment ? Eh hop ! Alexa, mets « Jules César- Le Grand Jojo ». Et si on faisait un peu de peinture à l’huile ? Eh hop, Alexa mets « Boby Lapointe – La Peinture à l’huile » et fais la lessive ! Notre passion pour les chansons s’est révélée dans les supports créés pour Carpediem, L’histoire en chansons, (pour étudier le français et l’histoire par les chansons de variétés), la Grammaire enchantée (pour s’initier aux règles grammaticales de base via les chansons enfantines) ou bien encore notre Lapbook à compter qui allie comptines et premiers calculs.
5) Suivre des cours de musique
Si vous sentez que vos enfants ont une certaine attirance pour la pratique instrumentale, n’hésitez pas, inscrivez-les dans une école de musique, un conservatoire ou ayez recours à un professeur particulier. Les tarifs des conservatoires se sont vraiment démocratisés et le coût pour les familles est devenu bien plus abordable. Testez leur capacité et volonté en utilisant notre Petit écran, Mes premières notes de musique. Si vos petits sont volontaires, à la fin de ce programme (basé sur un cours ludique en vidéo et de nombreux jeux de manipulation), ils seront capables de lire toutes les notes en clé de sol et en clé de fa et même de jouer en soliste, un morceau de flûte accompagné par un orchestre !
6) Ajoutez de l’éveil musical à vos rencontres IEF
Si vous faites partie d’un groupe de familles IEF organisant des rencontres, faites appel à une maman musicienne pour qu’elle propose des animations musicales. Le panel d’activités est très fourni : écoute et « analyse » de la musique, théorie musicale, flûte à bec, chorale, percussions collectives, réaliser un lapbook ou un exposé sur un musicien ou une œuvre etc.
7) Ecoutez de la musique en voiture
Quand nos enfants étaient petits, mon mari et moi avions pris l’habitude d’entonner des canons pendant les trajets un peu plus longs qu’à l’accoutumée. Avec les années, la chorale s’est agrandie et a accueilli 4 autres membres ! Nous réglons aussi souvent notre autoradio sur des stations spécialisées dans la musique (Radio classique, France musique, Radio jazz, etc.). Pour ne pas gaver vos enfants, faites des écoutes par plages de 5 minutes. S’ils en redemandent (ça arrive !!!!), prolongez l’écoute jusqu’à satiété. Bien évidemment, nous avons aussi à disposition des clés USB et CD de nos pièces favorites.
Vous avez de belles expériences d’éducation musicale avec vos enfants ? Partagez-les avec nous, on serait ravies de les lire !
Cherchons ensemble les 10 avantages du lapbook ! En pleines recherches de supports pédagogiques, au détour d’un blog de professeur des écoles ou d’une famille addict aux apprentissages informels, vous avez sans doute entendu parler du lapbook. Vous vous êtes peut-être demandé de quoi il s’agissait et aussi comment intégrer cet outil intelligent dans votre homeschooling, votre classe flexible ou vos ateliers en autonomie ? Dans cet article, nous, des utilisatrices de ce merveilleux support depuis plus de 15 ans, qui sommes les pionnières des lapbooks clé en main, nous vous proposons de vous aider à y voir plus clair.
Qu’est-ce qu’un lapbook ?
Pour faire simple, on pourrait résumer le principe du lapbooking par du scrapbooking adapté aux apprentissages. Il s’agit d’un moyen pratique d’enseigner une grande variété de sujets, d’étudier selon les centres d’intérêt de vos enfants et de favoriser leur créativité. Les lapbooks peuvent contenir des mini-livres, des dessins, des graphiques, des diagrammes, des frises chronologiques et 1001 autres choses encore !
Quels sont les avantages du lapbook ?
L’un des principaux avantages du lapbook est qu’il fournit aux enfants un moyen interactif et engageant de réviser ou approfondir les différents sujets et thématiques que vous abordez pendant vos leçons à la maison ou à l’école. Nous qui avons pratiqué l’IEF depuis de nombreuses années, sommes unanimes pour dire que lorsque le matériel et le support sont intéressants, il est plus agréable (et peut-être même plus facile) d’apprendre et de mémoriser. Le lapbook possède un avantage supplémentaire, c’est qu’il est unique et personnalisable !
Quels sont les autres avantages du lapbook ?
La réalisation d’un lapbook est ludique : les enfants l’adopte volontiers.
Utiliser des lapbooks peut vous permettre d’enseigner à plusieurs enfants – même s’ils sont dans des niveaux différents.
Ils offrent aux jeunes la possibilité de revenir aux sujets de leurs apprentissages avec beaucoup plus de plaisir que le feuilletage d’un cahier. La mémorisation s’en trouve facilitée. Parce que leurs lapbooks sont amusants et colorés, mes enfants les sortent souvent pour les regarder. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils révisent ce qu’ils ont appris !
Le lapbooking promeut la créativité, encourage les compétences de recherche, de synthétisation de l’enfant, lui apprend la planification et l’organisation, et l’aide à acquérir des compétences de présentation.
Les lapbooks peuvent être utilisés dans toutes les matières scolaires et non scolaires.
Le lapbooking est idéal pour les enfants qui n’aiment pas (ou ne peuvent pas) écrire beaucoup : même les enfants dyslexiques et dysgraphiques y trouvent leur compte car les lapbooks permettent de simplement énumérer les choses sans avoir à produire des rédactions de 10 pages. Carpediem propose aussi des étiquettes-réponses qui peuvent être collées dans les activités.
Les lapbooks sont adaptés à tous les âges : les plus petits peuvent les faire (peut-être juste en coloriant différentes couleurs), et ceux des lycéens peuvent être très détaillés.
Ils sont parfaits pour les moments où vous avez besoin d’une pause dans le programme : vous connaissez ces périodes de l’année ? celles où vous avez l’impression de tirer ou pousser des élèves ou des enfants qui refusent tout ? Vous devez continuer à faire l’école, mais ni vous ni les enfants ne sont motivés. Prenez un lapbook et poursuivez l’apprentissage d’une manière différente !
Ils ne prennent pas beaucoup de place : tous ceux que nous avons réalisés au fil des ans tiennent sur une seule étagère de notre bibliothèque ! Ils peuvent aussi facilement être conservés dans un cahier à trois anneaux (comme un portfolio du travail d’un élève pour l’année).
Les lapbooks font toujours de l’effet lors des contrôles de l’Education nationale !
Vous en utilisez dans vos apprentissages autonomes, donnez-nous votre témoignage sur les avantages du lapbook ! Vous les réservez à une utilisation scolaire, on aimerait savoir comment vous vous y prenez !
Avis ! Avis ! A tous ceux qui possèdent déjà le merveilleux carnet du généalogiste en herbe, téléchargez gratuitement sa nouvelle version : plus de couleurs, plus de fiches (45), plus de plaisirs !
Et à tous les autres, vous n’avez plus aucune raison de ne pas sauter le pas ! Admirez ce nouveau design !
Pourquoi un carnet de généalogiste en herbe? Parce que chez Carpediem, nous pensons que la généalogie est tout à fait accessible aux plus jeunes, à condition de leur proposer des outils adaptés !
Avec (ou sans l’aide de notre carnet du généalogiste), voici quelques pistes pour initier vos enfants à la généalogie !
1. Leur présenter des arbres généalogiques
Imprimez un arbre généalogique qui commence avec votre enfant et montrez-lui toutes les personnes qui l’ont précédé et qui ont contribué à ce qu’il est. Parlez des personnes présentes sur l’arbre que vous connaissez ou avez connues, et dites ce que vous savez de celles que vous n’avez jamais rencontrées. Les jeunes enfants sont souvent fascinés de voir l’histoire de leur famille présentée devant eux et rendue vivante par des récits passionnants. C’est émouvant et formateur de se rendre compte comment, en remontant dans le temps, ils sont reliés à tant d’autres personnes .
Faites en sorte que les enfants se sentent à l’aise pour parler à des parents plus âgés dès leur plus jeune âge. Commencez par leur faire raconter des histoires de leur enfance. Lors d’autres visites ultérieures, ils peuvent partager avec votre enfant ce qu’ils ont fait quand il était enfant, par exemple en lui apprenant les jeux auxquels il jouait, les travaux manuels qu’il faisait, les recettes qu’il préparait et ce qu’il apprenait à l’école. Les enfants s’intéressent davantage aux choses lorsqu’ils peuvent les appliquer à leur propre vie et se rendent compte que leurs parents plus âgés ont été des enfants comme eux.
3.Invitez vos enfants à participer à vos recherches en généalogie
Vous pouvez leur donner des fiches à colorier lorsqu’ils sont vraiment jeunes et plus tard, leur demander de faire des recherches (à leur niveau) pour vous, d’écrire certaines informations et plus encore. Pendant qu’ils travaillent avec vous, continuez à leur parler des personnes sur lesquelles vous faites des recherches et de l’époque à laquelle elles vivaient. Les enfants apprécieront le temps passé avec vous et l’associeront à la recherche généalogique. Cette dernière prendra du sens à leurs yeux.
4. Voyagez généalogiquement en famille !
Pourquoi ne pas organiser des vacances en famille dans les régions que vos ancêtres ont foulées ? Cela rendra les choses plus réelles pour les plus jeunes, et les vacances seront plus amusantes. Quelle joie de découvrir l’école de grand-papa ou la boutique du chapelier dans laquelle Tata Pénélope réalisait les plus beaux chapeaux de la ville !
📓Des fiches permettant de garder des souvenirs de vos balades familiales sur les lieux de vos ancêtres sont jointes à notre carnet de généalogiste en herbe
5. Regardez de vieilles photos ensemble
Feuilleter les vieux albums de famille constitue un bon moyen de savoir qui ils étaient, ce qu’ils faisaient et l’époque à laquelle ils vivaient. la plupart des enfants vivent cela comme une immersion dans un autre temps, un retour vers le passé en lien avec ce qu’ils sont aujourd’hui. Les photos rendent les ancêtres réels aux yeux des enfants. La généalogie pour les petits s’ancre alors dans une vraie réalité !
📓De nombreuses fiches de notre carnet de généalogiste en herbe sont conçues pour que les jeunes collent des photos anciennes.
6. Réalisez une frise chronologique familiale et personnalisée
Les petits apprécieront de renseigner une frise chronologique et d’y faire figurer leurs ancêtres et tous les membres de leur famille. C’est un bon moyen pour se repérer dans le temps et dans la famille !
📓Vous trouverez dans notre carnet du généalogiste en herbe, une frise familiale chronologique personnalisable. Sur notre site, nous mettons à disposition gratuitement, un livre des siècles qui pourra aussi recevoir les informations familiales et plus encore.
Nous vous souhaitons de tendres moments en famille en faisant de la généalogie avec les enfants !
Carpediem, c’est un site de ressources pédagogiques gratuites ou payantes, mais c’est bien plus encore ! Nous vous proposons de découvrir tout l’univers Marvel oups Carpediem !
Voyagez avec Carpediem éducation
Pas de bagages à empaqueter, pas de transports à planifier ni d’hébergement à réserver… Installez-vous confortablement dans votre fauteuil, ouvrez grand vos yeux et vos oreilles pour profiter de ce dépaysement virtuel ! On vous emmène à la découverte de 14 villes exceptionnelles, dans un périple étourdissant tout autour du globe. A votre rythme, profitez d’un temps d’évasion en famille. Après des visites immersives et des découvertes incroyables, répondez au quiz puis complétez votre passeport. A la fin du voyage, de jolis badges orneront votre profil et vous pourrez même imprimer votre diplôme de globe-trotteur. En suivant vos envies, profitez de la visite guidée d’un site naturel, d’un monument, d’une ville entière. Testez une de nos recettes et proposez des activités complémentaires à vos enfants ! L’Univers Carpediem vous offre les adresses des meilleurs sites Web pour découvrir une ville. Tout est compris : c’est un séjour « all inclusive » !
Chaîne YouTube Carpediem
La chaine YouTube fait partie intégrante de l’Univers Carpediem. Vous y retrouverez de nombreuses playlists dédiées à nos supports pédagogiques. Chacune d’entre elles regroupe des documentaires complémentaires, des reportages corolaires, des tutos, et de nombreuses autres ressources pour animer vos apprentissages.
Epinglez-nous sur Pinterest
📌 Carpe Diem ne joue pas au vaudou…mais possède quelques bonnes épingles.
📌 Carpe Diem ne veut pas vous épingler… mais vous invite à NOUS épingler.
📌 Carpe Diem a des supports tirés à 4 épingles…à accrocher à vos tableaux. Rendez-vous sur notre Pinterest !
Blog
C’est sans doute le coin le plus intime de notre univers. C’est là que nous partageons nos expériences réussies ou complètement loupées, nous vous donnons nos humbles conseils quant à l’utilisation de nos supports originaux et bien évidement, nous y témoignons de l’expérience acquise lors de l’instruction en famille de nos 9 enfants et 47 années d’école à la maison cumulés !
La malle s’insère parfaitement dans l’Univers Carpediem. Tout nouveau, tout beau et surtout très utile, il s’agit d’un site de curation de ressources pédagogiques. Nous voulons y partager les fantastiques pépites que nous collectons au quotidien, en préparant les supports de Carpediem Education !
Nous ne mettons dans la malle que des trésors testés, explorés, approuvés, appréciés, Pour découvrir et amasser chaque semaine nos fabuleux trésors, abonnez-vous à notre newsletter !
Memes nonscos et IEF dans l’Univers Carpediem
Et parce que le rire est une médecine, nous avons aussi créé une page Facebook dédiée à l’humour nonsco ! Caricatures plus vraies que nature, moqueries homeschoolisantes et dérision s’y donnent rendez-vous pour le bonheur de nos zygomatiques !
Suivez-nous partout et découvrez l’Univers Carpediem
Lorsque nous préparons les supports de Carpediem Education, il nous arrive bien souvent (tout le temps, en fait !) de découvrir des pépites ! Enthousiasmées, éberluées par la finesse, la beauté et l’intelligence de ses ressources pédagogiques, que dis-je surexcitées par tant de splendeur (Regarde Isableue, le magnifique site pour les Protozoaires que je viens de découvrir ! Et cette merveille sur l’armée napoléonienne ! Mais Axelle, n’as-tu pas vu ce lien sur les passagers oubliés du Titanic ?) nous nous empressons de faire découvrir nos époustouflants liens à notre marmaille pour qu’elle partage notre enthousiasme !
Marmaille Carpediem qui, comme vous vous en doutez apprécie tous les jours de devoir tester environ 50 liens différents…avec enthousiasme !
Trêve de plaisanterie ! Nos ados, curieux de tout et parfois de rien, se prennent au jeu et acquièrent ainsi une vaste culture pluridisciplinaire en prenant pour eux, les trésors que nous avons mis au jour lors de nos surfs sur le web !
Nous nous sommes dit, que si nos trouvailles plaisaient à nos enfants, il serait bien dommage qu’elles s’en retournent dans la toile, sans que d’autres apprenants en profitent ! Mais comment mettre en lieu sûr des trésors quelque peu virtuels ? Parole de pirate ! Dans une malle…tout aussi virtuelle !
Isableue et Croco se sont donc mis au boulot pour nous faire sortir de leur clavier, une malle aux trésors rutilante, capable non seulement de contenir tous nos bijoux-compléments pédagogiques, mais aussi de vous les partager sur Facebook et YouTube !
Ce site est spécialisé dans la curation de ressources complémentaires à nos offres pédagogiques, mais peut tout à fait être utilisé de façon indépendante par les familles ou les enseignants.
Qui choisit les trésors ?
Nous ne mettons dans la malle que des trésors testés, explorés, approuvés, appréciés, voire plébiscités par l’équipe et les enfants Carpediem !
Qu’est-ce qu’on range dans la malle ?
On met de tout ce qui peut aider les plus jeunes à apprendre avec plaisir et à rester curieux !
Utiliser nos supports ne vous enlève aucune liberté pédagogique ! Si nos supports sont vendus clé en main, il n’en demeure pas moins que vous avez toutes latitudes pour vous les approprier, les personnaliser et varier leur présentation !
Le lapbook se transforme en cahier/classeur : On imprime le texte sur des pages au recto, et on y colle l’activité correspondante au verso (le cas échéant).
Pour les textes plus longs, on intercale les activités entre deux chapitres.
Le carnet devient cahier : Le carnet se présente la plupart du temps dans un porte-vue ou un classeur. Mais on peut aussi l’imaginer sous forme de cahier. Ainsi, chaque fiche est collée sur la page de gauche, tandis que la page de droite est réservée aux illustrations ou photos qui se rapportent à la fiche.
Ce cahier est ensuite finalisé avec une page de garde et une couverture adéquates.
Le notebook devient livre : les notebooks, composés d’une centaine de fiches organisées dans un classeur peuvent aussi être reliées en fin de réalisation. On peut imprimer les fiches recto-verso pour économiser le papier, mais aussi décider de n’imprimer qu’un seul côté afin de réunir deux fiches pour en faire une enveloppe. On pourra y glisser une photo, une carte, un document facsimile, une poésie ou une carte heuristique…
Les dos des fiches peuvent aussi permettre de coller des images, des textes ou d’écrire des compléments d’information sur le sujet.
Pourquoi ne pas proposer des ateliers à thème à vos enfants/élèves en utilisant nos divers jeux prêts à l’emploi. Quoi de mieux que d’apprendre en jouant avec ses copains ou camarades !
Utiliser nos supports, tel le lapbook comme support d’exposé
Votre collégien doit faire un exposé sur Martin Luther King, les Celtes ou les Océans ? Il obtiendra un certain succès en présentant ses recherches et son travail dans un lapbook !
Utiliser nos supports tels le notebook et le lapbook comme “trace écrite” pour un contrôle d’IEF
Dans notre rapport d’IEF, nous n’omettons pas de lister les différents notebooks et lapbooks réalisés par nos enfants. Lors du jour J, ils sont assez fiers de pouvoir montrer leurs réalisations. L’accueil des IA et conseillers pédagogiques a toujours été positif. Certains ont même proposé de diffuser ce mode d’apprentissages auprès de leur pairs.
Utiliser nos supports, tel le lapbook comme “travail universitaire”
Il est arrivé plusieurs fois à nos enfants de réaliser un lapbook comme support de devoir pour l’un de leurs modules universitaires. L’originalité a payé et la présentation a été plébiscitée par les professeurs.
Chez Carpediem éducation, nous sommes plusieurs à avoir pratiqué l’instruction en famille. Certaines continuent à le faire encore aujourd’hui. C’est d’ailleurs bien souvent notre IEF qui inspire nos supports originaux !
Nos grands ont quitté le nid. Ils sont maintenant étudiants ou même impliqués dans la vie active. Et cela s’est fait tout naturellement ! Nous sommes donc convaincus que l’IEF, ça marche et que cela « produit » des citoyens responsables et intégrés dans la société. Nous souhaitons que toutes les familles et tous les profils d’enfants puissent continuer à jouir de cette liberté !
Nous soutenons donc les WEPLI et vous invitons à participer à l’une des manifestations qui se tiendra près de chez vous. Que vous soyez ou non personnellement concerné par l’IEF, c’est la liberté pédagogique et d’instruction qui est menacée. Tous les citoyens français risquent un jour d’être confrontés à la déscolarisation d’un proche ( phobie, harcèlement, maladie…)
Pour trouver les rassemblements de l’acte IV qui ont lieu près de chez vous, rendez-vous sur le site JIPLI.org. Si vous souhaitez proposer des jeux à fabriquer (#gratuitcarpediem) pour animer vos évènements, n’hésitez pas à nous le dire ! A Troyes, les familles IEF ont proposé aux enfants de réaliser un « oiseau de la paix Carpe diem » ! Symbolique et magique !
Voici la photo de la Marianne Carpediem (Vièra) prise lors d’une récente manifestation pour le maintien de l’instruction : c’est de l’ECM (éducation civile et morale) en pratique !
Qui osera (encore) dire que nos enfants sont des sauvages ?
Pour ce top 10, nous avons demandé à nos enfants pourquoi ils aimaient les notebooks. Bon…ils ont un peu tiqué sur le terme « aimer » en disant qu’ils toléraient ce mode d’apprentissage. Mais quand on a des ados en IEF, on sait tous que l’enthousiasme expansif n’est pas toujours au programme. Pourtant nous qui les connaissons et les voyons tous les jours utiliser les notebooks, on peut vous affirmer qu’en réalité, ils les aiment plus qu’ils ne les tolèrent, comparaison faite avec les apprentissages traditionnels et académiques ! Parce que je ne vous fais pas de dessin sur ce qui se passe avec les sujets qu’ils ne tolèrent pas !
Voilà donc les réponses de nos ados à notre question « Pourquoi TOLEREZ-VOUS les notebooks ?
1. Parce que je peux y faire des dessins et les personnaliser
Si vous n’utilisez pas de notebooks prêts à l’emploi, le jeune peut lui-même les créer et pourra ainsi faire preuve de créativité. Il tracera les formes de son choix, et pourra ensuite les renseigner avec plaisir. Il aura pour apprendre un support qui lui ressemble et où il fera bon s’investir.
2. Parce que je peux créer des fiches DIY sur l’ordinateur
Là c’est votre inspecteur qui sera content de surcroît ! La création de notebook sur l’outil informatique entre dans les fameux Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement (TICE). En offrant cette opportunité de créer des notebooks à vos enfants, vous les rendez à l’aise avec un media incontournable aujourd’hui.
Elle n’est pas belle la vie ? ça fait plaisir d’entendre cette bonne raison de tolérer les notebooks ! Oui, les notebooks facilitent la mémorisation et la synthétisation. En les utilisant nos enfants admettent que cela marche pour eux !
4. Le notebook me donne un sentiment d’accomplissement
Nos jeunes affirment qu’ils ont un vrai sentiment d’accomplissement à la fin d’une année IEF, quand ils reviennent sur leurs notebooks et les feuillettent. Il leur reste une trace des sujets passionnants qu’ils ont découverts
5. Je peux garder une trace de mes sorties pédagogiques
On est d’accord, la sortie pédagogique accompagnés des copains nonscos est plus fun que la prise de notes. Mais nos enfants trouvent que le principe du notebook permet de garder une trace de ses activités éducatives. Traces écrites qui sont d’ailleurs très appréciées lors des contrôles d’IEF !
6. Le notebook n’est pas un support rigide mais il est rigoureux
Le notebook convient aussi bien à des enfants créatifs qu’à ceux qui sont plus « procéduriers ». Le contenu des fiches du notebook ne demande pas de réponse « correcte ». Mais tous les jeunes peuvent les renseigner différemment sans que cela soit faux ! Le notebook est vraiment à l’opposé d’un test ou du QCM bête et méchant.
7. Grâce au notebook, j’améliore mes compétences en matière de prise de notes
Selon nos petits jeunes, lorsqu’ils savent qu’ils devront remplir une fiche de notebook, ils font plus attention lors de la prise de notes. Cela peut être lorsqu’ils regardent un documentaire ou écoutent une conférence. Ils gardent toujours en tête l’objectif final de synthétiser les notions reçues et deviennent de vrais « pros » de la prise de note.
8. Je peux utiliser des tonnes de stylos fantaisie !
Nos étagères en plus de compter de nombreux livres, regorgent de marqueurs, de crayons, de ciseaux à cranter, d’adhésifs et de papier multicolores. On dirait qu’il n’y en a jamais assez ! Grâce au notebook, nos enfants ont la possibilité de colorier des mots, d’illustrer des récits et de schématiser des faits en utilisant tous les moyens artistiques imaginables ! Il y a une multitude de choses à intégrer dans les notebooks.
Le notebook sert de pense-bête lorsque certaines notions sont oubliées. Il est plus facile de retrouver un sujet dans ce style de support que dans 3 manuels différents, un dictionnaire et une encyclopédie en 10 tomes !
Fiche de notebook DIY sur le sonnet
10. Le notebook donne à nos mères une bonne raison de bloguer et de nous en créer !
L’honnêteté d’un adolescent :-). Oui, nous bloguons (et ils blaguent) sur le notebook et nous en créons des prêts à l’emploi parce que nous sommes convaincues de leur efficacité ! Nous aimons voir les enfants se cultiver et conserver le plaisir d’apprendre grâce à ce support sur mesure ! C’est sur l’expérience positive de notebooking dans nos familles que nous nous appuyons pour vous proposer des outils dont la valeur est sûre !
Depuis 1998, l’instruction en famille, en France se trouve sous le feu d’attaques politiques de tous bords. Régulièrement, l’IEF se voit affublée d’une nouvelle étiquette en « isme ». Petits retours sur les accusations diffamatoires de nos détracteurs.
« Afin de protéger les enfants en âge scolaire de l’emprise sectaire, le Parlement a adopté en première lecture et à l’unanimité la loi n° 98-1165 du 18 décembre 1998 tendant à renforcer le contrôle de l’obligation scolaire.
Le législateur a souhaité non seulement encourager la fréquentation scolaire, lutter contre toutes les formes d’abandon scolaire mais aussi veiller à ce que, au nom d’une liberté dans les choix d’instruction, les principes fondamentaux de l’éducation due aux enfants ne se trouvent dévoyés par une instruction sommaire, voire sectaire. »
Depuis l’intervention de la loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance qui a complété l’article L. 131-10 du code de l’éducation, l’instruction dans la famille recouvre l’enseignement à distance. Tous les enfants qui ne reçoivent pas une formation dans un établissement scolaire au sein duquel ils sont présents relèvent désormais de l’instruction dans la famille et sont soumis au régime déclaratif de l’instruction dans la famille ainsi qu’aux contrôles du maire et de l’autorité de l’État compétente en matière d’éducation.
2016 – Terrorisme et Radicalisation (ah zut, c’est pas un « isme » !)
« Poursuivre le plan de contrôle de l’enseignement privé hors contrat et de l’instruction à domicile. »
« Cela apparaît largement insuffisant : le renforcement de l’obligation scolaire est indispensable pour assurer le droit de tous les enfants à l’instruction, à l’éducation et pour favoriser l’épanouissement de leur personnalité. Dans un contexte de menace terroriste inédite couplée à un développement sans précédent du communautarisme, il est indispensable que le contrôle de l’État sur l’éducation de tous les enfants soit renforcé. » Eric Ciotti (Proposition de loi – http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion3704.asp)
Pour se défendre contre le propagandisme et le babélisme, nous revendiquons haut et fort un nouvel humanisme !
Aventurisme : tendance à prendre en politique des décisions impulsives et opportunistes.
Anticonformisme : Opposition aux usages établis, aux traditions.
Ignorantisme : Attitude de ceux qui repoussent l’instruction comme nuisible.
Alarmisme : Qui répand des bruits propres à inquiéter la population.
Aquoibonisme : Tendance au défaitisme et à l’abandon.
Activisme : Système de conduite qui privilégie l’action directe (en particulier dans le domaine politique, social).
Babélisme : Confusion où on ne s’entend plus, où on ne se comprend plus ; jargon incompréhensible.
Humanisme : Philosophie qui place l’homme et les valeurs humaines au-dessus de toutes les autres valeurs.
Propagandisme : Action systématique exercée sur l’opinion pour lui faire accepter certaines idées ou doctrines, notamment dans le domaine politique ou social
On pourrait se réfugier dans l’aquoibonisme, mais on préfère l’activisme. Pour ne pas céder devant le totalitarisme et l’aventurisme, nous développons l’altruisme ! Il se pourrait bien aussi que nous fassions preuve de jusqu’auboutisme !
Communiqué de presse de l’Association LAIA : Libres d’instruire et d’apprendre autrement – IEF en Danger
Que vive l’instruction en famille !
Entrons en résistance pour le maintien de la liberté d’instruction.
L’association LAIA, Libres d’Apprendre et d’Instruire Autrement, dénonce les intentions liberticides du Président de la République visant à rendre illégale l’instruction en famille.
Nous nous insurgeons contre cette décision piétinant la liberté d’enseignement et faisant table rase du droit fondamental de tout parent, ancré dans la loi depuis 1882 et consacré par la Déclaration universelle des droits de l’homme, de choisir le mode d’instruction de son enfant.
Incapable d’apporter des réponses concrètes aux enfants en souffrance à l’école, l’État préfère supprimer toutes solutions contribuant au bien-être des plus jeunes. Au lieu de s’attacher à moderniser l’école et remettre en question un système dépassé, le Président refuse la mise en place par les familles de pédagogies et initiatives innovantes, qui assurent une instruction de qualité aux enfants.
Plutôt que d’ouvrir le dialogue et tenter de comprendre les motivations des familles, le Président les accuse de séparatisme et tombe dans un amalgame récurrent en prétendant lutter contre la radicalisation alors qu’aucune étude n’a établi de lien entre celle-ci et l’instruction en famille.
L’État voudrait endiguer le flot croissant de déscolarisations, mais n’oublions pas que l’abaissement à 3 ans de l’instruction obligatoire en 2019 a nécessairement augmenté brutalement les effectifs d’enfants instruits à domicile, cette tendance s’accentuant aujourd’hui pour des raisons contextuelles liées à la situation sanitaire, mais étrangères à un supposé séparatisme.
Monsieur Macron se trompe de cible : les enfants instruits en famille ne sont ni perdus, ni à la dérive, ni hors radars, ni invisibles. Ils sont bel et bien implantés dans la société, en tant que citoyens responsables, sans se cacher mais avec fierté. Mais en a-t-il déjà rencontré ?
Nous, membres de LAIA, avons pris la décision d’entrer en résistance face à ce projet de loi et allons agir de concert avec tous ceux qui souhaitent œuvrer pour la sauvegarde de la liberté de l’instruction.
« Tous les hommes reconnaissent le droit à la révolution : c’est-à-dire le droit de refuser l’allégeance à un gouvernement tyrannique et le droit de résister au gouvernement quand sa tyrannie ou son inefficacité sont grandes et insupportable. » Henry David Thoreau
En tant que famille IEF, nous passons beaucoup de temps à l’extérieur quand tous les autres enfants sont à l’école. Nous rencontrons toujours des gens qui nous interrogent « Quoi ? Pas d’école aujourd’hui ? Je leur réponds que nous faisons l’école à la maison, et puis, neuf fois sur dix, j’obtiens cette réponse.
Oh, je ne pourrais jamais faire l’école à la maison à mes enfants !
Mais qu’est-ce que cela signifie ?
Que cette personne ne supporterait pas d’être entourée de ses enfants toute la journée ?
Qu’elle reconnait ne pas se sentir pas qualifiée pour le faire ?
Qu’elle pense que je la juge mal parce qu’elle n’a pas fait le choix d’instruire ses enfants ?
Que j’ai une sorte de super-pouvoir top secret en matière d’IEF et que toutes mes journées sont roses et faciles ?
Qu’elle s’imagine que je ne suis pas du tout qualifiée pour ce job ?
Ou qu’elle a peur que je fasse du prosélytisme et essaie de la convertir à rejoindre la grande secte des parents IEF ?
Quelle que soit son intention, en général, je hausse poliment les épaules et je souris (béatement ?). Quelle pourrait être la bonne réponse à apporter à ce gendre d’affirmation ? Sur le coup, je ne sais jamais trop quoi répondre, pourtant il y a des jours où j’aimerais bien avoir sous le coude des punchlines toutes prêtes !
Alors pour ne plus me (vous) sentir prise au dépourvue la prochaine fois que quelqu’un me (vous) dira « Ouhlala, mais comment faites-vous pour instruire vos enfants ? Je ne le pourrais jamais ! »
J’ai préparé une liste de 10 choses que j’aimerais que ceux qui n’ont pas choisi l’IEF (proches, amis, famille, inconnus) sachent.
Voici les 10 punchlines à utiliser sans modération !
1. L’IEF : Y’a pas de honte à aimer ça !
On a tous commencé l’école à la maison pour différentes raisons (phobie scolaire, handicap, curiosité, difficultés d’apprentissages, précocité…). Mais ce qui est certain ; après m’être lancée, je n’ai pas pu m’arrêter – c’était tellement fabuleux ! Nous connaissons tous des familles qui ont commencé parce que leurs enfants étaient maltraités ou parce qu’ils avaient des besoins que l’école ne pouvait pas satisfaire. D’autres amis qui font l’école à la maison parce qu’ils trouvent abusif d’obliger des enfants à rester assis à leur bureau toute la journée. Quelle que soit la raison pour laquelle nous avons commencé l’école à la maison, nous avons tous continué parce que nous apprécions tellement ce choix de vie que nous ne pouvons pas imaginer notre existence sans elle.
❤️J’aime que mes enfants soient si proches les uns des autres, des plus âgés aux plus jeunes.
❤️J’aime que nous passions toutes nos journées ensemble, à rire et à apprendre.
❤️J’aime cette connivence qui nous lie et cimente nos relations.
Il n’y a rien que j’aime plus que de voir mes petits découvrir la magie des mots et des livres, et le miracle du corps humain, ou comment l’histoire et la grammaire peuvent devenir si différentes lorsque l’on les découvre ensemble en chantant. J’aime vraiment l’école à la maison et plus ça vient plus c’est addictif !
2. N’essayez même pas d’imaginer notre emploi du temps !
Si vous pensez que notre homeschooling ressemble à l’école que vous fréquentiez quand vous étiez enfant, vous vous demandez probablement comment un simple mortel peut gérer ses tâches ménagères, en plus de maintenir au bureau sa marmaille, d’enseigner plusieurs matières à des enfants d’âges différents et de conduire la « classe » en récré ! Pas étonnant que vous vous imaginiez que c’est infaisable ! Moi aussi je pense que cette organisation est impossible et qui plus est, misérable ! Non, nous n’étudions que quelques sujets par jour, et notre travail à la table est fini avant que la « vraie » école n’ouvre ses portes pour la récréation de midi !
Nous essayons d’intégrer tous nos apprentissages formels dans la matinée. Les après-midis sont libres. Ceux qui pratiquent un instrument de musique peuvent le faire, les autres peuvent jardiner, buller, rêver et s’amuser !
Donc si mes enfants ont l’air de jouer dehors toute la journée, ne vous inquiétez pas. 😄
3. Les homeschoolers se suivent mais ne se ressemblent pas !
Nous ne sommes pas tous des hippies écolos et zéro déchet, ni des « super-conservateurs tradis », porteurs de longues robes ou fanatiques religieux. Les enfants scolarisés à la maison sont comme ceux qui vont à l’école ! Dans notre entourage, vous trouverez des mères dont les enfants de 3 ans pratiquent le violon pendant des heures chaque jour, et des mères qui laissent leurs enfants jouer seuls au parc. Vous rencontrerez une famille qui revient de trois ans d’un long tour du monde, une autre qui s’investit à fond dans la protection des animaux et une autre qui va à l’église tous les dimanches. Quelles que soient nos différences, en fin de compte, nous, les homeschoolers, sommes pareils que les autres, nous travaillons dur pour faire de notre mieux pour nos enfants. Nous voulons tous qu’ils soient honnêtes, travailleurs, ambitieux, empathiques et heureux – des enfants qui apporteront leur pierre pour que le monde se porte mieux.
4. On n’est pas qualifiés et c’est tant mieux !
Plus d’une fois, on m’a demandé quelles étaient mes qualifications pour enseigner. On m’a aussi déjà dit que seuls les parents diplômés pouvaient faire l’instruction en famille. Mais nos diplômes n’ont rien à voir avec l’enseignement ! Pourtant je suis la personne la plus qualifiée au monde pour enseigner à mes enfants. Pourquoi ? Parce que je les aime plus que quiconque. J’aime les serrer dans mes bras et leur faire la lecture, passer du temps avec eux, explorer et apprendre avec eux.
5. Oui, j’assume d’être une mère protectrice !
Est-ce vraiment mal de vouloir protéger au moins quelques temps nos enfants de certains dangers ? « Abrité » est un synonyme de « protégé ». Nous voulons tous protéger nos enfants, n’est-ce pas ?
Et l’antonyme « d’abriter » c’est « exposer ». Est-ce que cela vous fait réfléchir à deux fois avant de vous sentir culpabilisé à propos de votre côté protecteur ? J’admets volontiers que je veux protéger mes enfants du harcèlement, des drogues illégales et de la promiscuité tant qu’ils sont jeunes. Je ne me sentirai jamais coupable à ce sujet.
6. Mes enfants ne savent pas tout, mais je m’en fiche !
Mes enfants ne savent pas comment lever la main pour poser une question ou se ranger avant d’entrer en classe ? Dans notre école maison, lorsque je pose une question, tout le monde s’empresse de répondre, et c’est vraiment le fouillis ! On rit bien et cela ne va certainement pas m’inquiéter de ne jamais leur avoir appris à lever le doigt avant de répondre ! Je préfère l’exubérance.
Mais le domaine dans lequel mes enfants sont le plus déficients est probablement la compréhension de l’hérédité sociale. Vous savez celle dans laquelle, les filles méchantes au sommet ont tout le pouvoir, juste parce qu’elles sont exclusives, et dures. Mes enfants n’ont pas la moindre idée de ce que c’est que d’être « coooool » et de la motivation à se lier d’amitié avec les filles méchantes.
Ils ne savent pas qu’ils ne doivent être amis uniquement avec des enfants de leur âge et de leur sexe, ni que se lier d’amitié avec des personnes différents fait de vous un paria social.
Ma fille de 6 ans s’était rapprochée d’un enfant du conservatoire qu’elle fréquentait. Elle l’adorait et en parlait tout le temps. Quand je l’ai enfin rencontré, j’ai été vraiment surprise de découvrir, d’abord que c’était un garçon et qu’il avait 13 ans ! Ma fille a été très étonnée quand j’ai évoqué cette différence d’âge avec elle, parce qu’elle n’avait pas remarqué ces détails ! C’était tout simplement un copain sympathique et drôle.
7. Je vous promets que mes enfants sont loin d’être ignares !
Parfois, mais plus souvent que vous ne l’imaginez, de parfaits étrangers découvrent que mes enfants sont scolarisés à la maison et leur posent des questions sur les mathématiques, la géographie et l’orthographe des mots. Parfois, les membres de la famille et les proches sont encore pires. Un de nos amis enseignant avait l’habitude de faire des interrogations orales à nos enfants et de les questionner fréquemment, non seulement sur des faits, mais aussi sur notre emploi du temps quotidien et sur les sujets sur lesquels ils travaillaient. J’ai finalement appris à mes enfants à répondre poliment en disant : « Ma mère me fait assez de quiz à la maison ». J’espère que cela aidera les curieux à comprendre que c’est terriblement grossier et que cela ne les regarde pas.
8. Nos journées font aussi 24 h !
Dans le numéro 2, j’ai parlé de nos journées et du fait que nous ne passions pas six heures par jour penchés sur des bureaux. Nous ne passons pas non plus notre temps devant la télévision à manger du popcorn. En plus des quelques trois heures (maximum) d’apprentissages formels ou libres que nous faisons chaque jour, l’instruction en famille exige un minimum de préparation. De plus, nous, les parents qui faisons l’école à la maison, avons les mêmes tâches ménagères que vous, les mêmes entraînements de football et répétitions d’orchestre et les mêmes leçons de piano et de danse. Et beaucoup d’entre nous travaillent aussi pour aider à soutenir nos familles.
9. Nos enfants ne sont pas des sauvages !
Si je mettais 1 centime dans une tire-lire à chaque fois qu’on me pose la question de la socialisation, je serais riche ! Tout le monde pense que les enfants qui ne vont pas à l’école passent à côté de la « socialisation » – et ils ont raison ! Si on entend par socialisation, des commérages, du harcèlement, des batailles sans fin pour arriver en haut de l’échelle sociale. Eh bien oui, les homeschoolers passent souvent à côté de cette socialisation. Mes enfants ne réalisent pas qu’ils doivent se conformer pour s’intégrer, donc ils ne se conforment pas, ou ne s’intègrent pas vraiment, mais cela n’a pas d’importance pour eux, car ils n’ont pas besoin de l’approbation de leurs pairs. Eloignés du moule, ils se laissent le droit d’être uniques. Ils peuvent être serviables, coopératifs, intelligents, ringards et gentils – tout ce qu’il y a de mieux pour un « intello » dont on se moquerait à l’école ! Comme nous passons moins de temps à l’école, nous pouvons consacrer plus de temps aux activités extrascolaires, faire de petits concerts dans les maisons de retraite, s’investir bénévolement auprès de la SPA ou se lancer dans une « foultitude » de projets qui nous ressemblent et qui en aucun cas font de nous des personnes plus sauvages que celles qui vont à l’école ! D’autant plus que nos enfants semblent tout aussi à l’aise avec les mamies qu’avec les groupes de jeunes !
10. Nous ne sommes pas meilleurs que vous !
Ni moins bien !
Ok, je ne peux pas parler au nom de tous les enfants instruits à la maison. Mais je pense que tous les parents, qui font ce choix essaient juste de faire ce qu’il y a de mieux pour que leurs enfants soient au mieux de leur forme et qu’ils survivent au chaos. Je ne vous connais peut-être pas personnellement, mais je connais d’autres familles qui ne font pas l’école à la maison, chacune d’entre elles fait comme nous, elle fait de son mieux pour ses enfants !
Nous n’avons pas eu l’intention de faire l’école à la maison, ça nous est tombé dessus un peu par hasard ! Mais nous avons continué parce que nous aimions ça j’aimais absolument ça. Mais je ne suis pas une meilleure mère, ni un meilleur professeur, ni une meilleure personne, juste parce que je fais l’école à la maison. Nous ne sommes pas non plus des spécialistes !
Nous, les homeschoolers, avons peut-être l’air différents, et nous sommes peut-être vraiment bizarres. Mais nous sommes tous des parents. Et nous sommes tous dans le même bateau.
Le petit est en train de s’effondrer sur la table de la cuisine. Le grand se tape la tête contre les murs au lieu de faire ses exercices de mathématiques. Le chien vomit sur votre parquet en chêne, juste devant vous. On sonne à la porte, ce sont les gens du recensement. Vous aviez oublié qu’ils venaient aujourd’hui. Puis, le petit en profite pour perdre sa dent pendant que vous désespériez que le grand termine ses multiplications. Malheureusement, la dent est tombée dans l’interstice de votre moins rutilent parquet de chêne. Le petit pleure maintenant parce que la petite souris ne pourra pas lui déposer une pièce. Puis… pour couronner le tout… papa passe la porte après une longue journée de travail et demande du SILENCE ! Est-ce que cela ressemble à certaines de vos journées d’instruction en famille ? On vous explique dans cet article comment survivre au homeschooling.
1. Survivre au homeschooling : en gardant le sens de l’humour
Si le tableau à peine caricatural que nous venons de dépeindre vous est familier, sachez que nous avons remarqué que la meilleure attitude à avoir quand les événements sont plutôt… houleux… est de RIRE ! Avoir le sens de l’humour est un kit de survie pour l’IEF. Votre douance humoristique vous fera rire, pleurer et réaliser que la vie est courte et que le temps passé à instruire nos enfants est précieux, malgré les journées folles que l’on peut vivre. Il y a une solution pour la plupart des choses. La petite souris ne s’est même pas rendu compte qu’on lui avait mis une dent fabriquée avec une gomme découpée ! Bien sûr après, il a fallu réaliser un lapbook complet sur les souris pour savoir si elles avaient des problèmes de vision !
2. Survivre au homeschooling en ayant une bonne réserve de café (ou de thé)
C’est un cliché, mais ma tasse de thé le matin est quelque chose que j’attends avec impatience et qui me donne de l’énergie pour commencer la journée. J’ai besoin de cette tasse. Et quand la tension en journée se fait sentir…je m’offre une pause « gourmandise ». J’avoue que certaines semaines, mon stock de thé diminue à vitesse grand V ! Parce que je ne vous l’ai pas dit, mais le chat s’y est mis aussi ! Il a choisi comme cabinet d’aisance, mon beau tapis de Perse ! Eh Mistrigi ? Tu ne peux pas plutôt essayer de trouver la p’tite souris !
4. Je survis parce que j’entasse des livres !
On vous l’a dit dans l’un de nos derniers articles. Chez nous, on est bibliovore. Pour pouvoir répondre à la curiosité inassouvie de mes petits homeschooleurs (et la mienne !), j’ai réalisé une bibliothèque documentaire presque plus fournie que le rayon jeunesse de celle de ma ville ! En plus de cela nous allons régulièrement à la médiathèque pour y emprunter ceux qui nous manquent. Conclusion : nous sommes des adeptes du tsundoku ! Car ces piles de livres me donnent un équilibre ! Mais cela pourrait être tout autre passion ! Il est très facile à l’IEF de prendre le dessus sur nos vies. Avoir un intérêt autre que l’école à la maison est tellement important. Il n’est pas besoin de grandes passions vous obligeant à partir à l’autre bout de la Terre, ni à dépenser des sommes énormes, que vous n’avez pas. Cela peut tout simplement être votre collection de dés à coudre, votre ménage en dansant tous les samedis matin, votre tricot hebdomadaire ou même une sortie entre amies de temps en temps. Si toute notre attention se concentre sur l’IEF, cela risque de très vite faire exploser notre cerveau ! Qu’avez-vous choisi comme soupape de sécurité?
5. Avoir un bon taille-crayon !
Cela peut sembler dérisoire, mais pourtant avoir un bon taille-crayon et plus généralement du bon matériel pour apprendre constitue une vraie bouée de sauvetage ! Quand vous êtes en train de cartographier le monde et que votre mine se casse à chaque contour des Caraïbes, le voyage est moins plaisant ! Surtout que vos pirates oublient souvent que les mines de crayon font de merveilleuses traces lorsque l’on marche dessus ! Je trouve que disposer des bons outils et de bons supports pédagogiques me sauve mes journées et assurent ma survie émotionnelle ! N’avez-vous jamais été confrontés à ce genre d’expérience ? Les gommes qui disparaissent par enchantement. Quand vient le temps de s’asseoir et de travailler, des enfants qui disent toujours « Je ne retrouve pas ma gomme » ou « Mon crayon n’est pas bien taillé ! ». Si un enfant ne prend pas plaisir aux supports pédagogiques que vous avez choisi, la survie peut être engagée ! Pour la disparition des gommes…le mystère n’a toujours pas été élucidé. On pense que c’est la petite souris qui est accro aux gommes plutôt qu’aux dents des bambins !
3. Dormir pour survivre au homeschooling!
Cela devrait aller de soi, mais les parents qui font l’école à la maison (et tous les parents) ont besoin de dormir suffisamment. Mais pourtant bien souvent, je veille tard pour terminer de fouiner sur internet pour trouver LA méga extra parfaite ludo-pédogo activité qu’il me manque pour mon IEF du lendemain. Mais, une nuit de bon sommeil vaut tellement plus que tout ce que j’aurais pu trouver en plissant mes yeux fatigués devant mon écran jusqu’à …point d’heure. Vous qui êtes un parent IEF…vous savez jusqu’à quelle heure nous sommes capables de veiller pour ce genre de recherches. Pourtant une bonne nuit de sommeil est essentielle à la survie de la maman homeschooleuse que je suis ! Et à celle de mes enfants homeschoolés. Parce qu’un parent qui ne dort pas assez aura certainement moins de patience à supporter les petits et gros aléas rencontrés dans une journée d’IEF. Pas vrai le chien, le chat et la p’tite souris ?
6. Oser la corruption
Oui, j’ai bien écrit la corruption. Mais j’aurais peut-être dû dire « l’incitation » ou la carotte ! Parfois, mes enfants ont besoin d’un peu de motivation pour accomplir un travail plus compliqué qu’à l’accoutumée, ou pour venir à bout d’un cours ardu. Quand cela arrive, je n’ai pas honte de les corrompre avec un paquet de bonbons ou une autre gourmandise de leur choix. Il ne s’agit pas de les acheter, mais comme le disait Mary Poppins de faire passer les mauvaises choses (la médecine) avec un morceau de sucre !
ça met de la bonne humeur dans la maison et de l’ardeur ! Ils savent que pendant qu’ils s’attaquent à une tâche difficile, il y a un petit quelque chose de sucré qui va avec. Il n’y a rien de mal à ça, n’est-ce pas ? N’oublions que les enfants sont un peu comme nous – ils répondent aux mêmes motivations et ont besoin des mêmes encouragements que nous. Cela peut être aussi une sortie en forêt, un jeu vidéo ou un film à la télé !
7. Jouez et s’amuser !
Si vous voulez survivre à l’école à la maison, rien de tel que d’en faire une chose amusante. On vous a déjà dit que l’humour était un ingrédient important pour notre survie, mais sans le jeu, on serait tout aussi perdu ! Nous essayons de faire des jeux régulièrement et d’apprendre en jouant. Les journées sont plus gaies et il n’y a pas de contraintes lorsque l’on s’appuie sur des ressources ludo-pédagogiques variées et de qualité. Parfois, les jeux ne possèdent pas vraiment d’intérêt pédagogique mais ils permettent tout simplement de détendre l’atmosphère. Ils offrent l’opportunité de pouffer de rire ensemble lorsque le parent tombe sur la tête de mort, 3 fois de suite et doit reprendre sa partie de jeu de l’oie au début ! Et ça marche me^me avec des ados de 16 ans qui n’ont plus besoin d’apprendre à compter en lançant des dés.
8. Être prêt à lâcher prise pour survivre au homeschooling
Si vous êtes submergés et que vous pensez que vous allez tout droit vers le naufrage de votre IEF. N’hésitez pas à lâcher prise ! Diminuez les engagements écrasants, les activités parascolaires, les trop grandes attentes, les devoirs forcés…VIVEZ, JOUEZ, RIEZ ! Recentrez-vous sur l’essentiel et fixez les yeux sur votre objectif : le bien-être de votre famille. Laissez-vous aller. Les saisons de la vie vont et viennent, alors plutôt que de se casser la tête à faire rentrer coûte que coûte, les tables de multiplications dans le cerveau de vos étourdis chéris, avant la visite de votre inspecteur, embrassez-les, dites-leur que vous les aimez. Prenez une grande respiration. Et affrontez les aventures et les défis ensemble.
Et vous ? Comment vous y prenez-vous pour survivre au homeschooling ?
Si vous avez déjà utilisé un de nos lapbooks ou même simplement consulté notre catalogue, vous avez dû vous rendre compte que nous accordons à l’éducation musicale une grande place.
Quand, à 4 mains nous jouons du piano, rédigeons un lapbook sur les « Océans » ou le « Soleil », et que je suis chargée (avec grand plaisir !!!) de traiter les pages concernant l’art et la musique, Isableue fait souvent les gros yeux (à peine, et puis, ils sont bleus !!).
Mais finalement, elle doit se résoudre (avec grand plaisir !!!) à me laisser grappiller quelques pages, lorsque je luis dis « ah, tiens, ne faudrait-il pas évoquer le « Cantique du soleil », pour violoncelle, chœur de chambre et percussions de Sofia GOUBAÏDOULINA, et puis aussi le Quatuor à cordes « Lever de soleil » de Joseph Haydn dans notre lapbook sur le soleil ? Ou bien encore quand je lui annonce « Et si on créait un notebook pour apprendre l’Histoire en chansons ou la grammaire en chantant ? Et puis peut-on raisonnablement dans ce nouveau lapbook en préparation sur MLK, ne pas évoquer les racines de la musique afro-américaine par une dizainecinquantaine centaine (ça suffira ?) de pages ultra hyper interactives et agréables aux oreilles ?
Nous sommes comme Friedrich Nietzsche…euh, nos chevilles vont bien, rassurez-vous ! Nous sommes au diapason avec lui lorsque il affirme :
« Sans la musique, la vie serait une erreur. » Friedrich Nietzsche
Nous pensons que la musique n’est pas une option. Il est bon qu’elle soit incluse autant que faire se peut dans les apprentissages des petits iefeurs et plus généralement dans la vie de tous les jeunes enfants qu’ils aient ou non des aptitudes pour cet art.
Et pourquoi ?
Parce que l’éducation musicale c’est bon pour le physique !
Dès la naissance, la musique participe à l’éveil des sens du nourrisson. Un enfant qui joue d’un instrument, qui suit un cours d’éducation musicale ou qui chante, aura une bonne prise de conscience de son corps. Les enfants se développent physiquement par le mouvement, et la musique est essentiellement un mouvement. Les physiothérapeutes nous disent que la répétition des mouvements est importante pour le développement du cerveau et de la motricité. Le rythme, le tempo et les différents types de sonorités soutiennent une croissance harmonieuse.
Je me souviens d’une aventure qui nous est arrivée. Ma fille qui pratique la musique depuis ses 5 ans, avait fait un stage de tir. Les animateurs furent tout étonnés de sa maîtrise et de sa capacité à rester calme. Alors qu’elle n’avait que 12 ou 13 ans, elle leur assura que cela venait de son habitude des auditions et autres examens. Elle savait gérer son stress parce qu’elle avait dû souvent jouer en public ou même devant ses professeurs.
En écoutant régulièrement de la musique, en dansant et se balançant (au rythme de Pierre et le Loup ?), l’oreille interne se développe et apporte une prise de conscience de l’équilibre. Pour les plus jeunes, l’internalisation d’un rythme régulier les aidera à améliorer leur coordination et leur capacité à marcher régulièrement.
Nous savons tous à quel point les jeunes enfants sont perspicaces. Ils remarquent tout petit changement dans leur environnement. Lorsque les enfants sont exposés à la musique et à sa merveilleuse diversité, ils apprennent à être des auditeurs actifs. Cela les aide à distinguer les différents types de sons – aigus et graves, forts et doux – et ce type de discrimination sonore stimule les premières bases de l’enfant pour l’apprentissage de la variété des sons du langage. Des études ont montré que les enfants qui sont exposés à la musique dès leur plus jeune âge développent généralement plus facilement leurs compétences linguistiques.
L’éducation musicale apprendra à l’enfant
🎵 À maîtriser sa respiration
🎵Mais aussi à acquérir une bonne posture.
🎵A Développer sa motricité fine
🎵Augmentera son indépendance des mains et même parfois des doigts !
🎵Facilitera l’apprentissage des langues
Parce que la musique ça rend intelligent !
Plusieurs études réalisées par des neurobiologistes et neuropsychologues ont démontré que la musique faisait du bien au cerveau ! Les cerveaux des apprentis musiciens sont soumis à des stimuli qui favorisent les connexions entre les hémisphères et développent tout un tas de compétences utiles dans tous les domaines.
Les pays où la musique est vraiment enseignée dès les plus petites classes et depuis longtemps, par le chant choral ou la pratique instrumentale comptent sans doute les meilleurs élèves. C’est le cas notamment de la Hongrie (méthode Kodály), du Japon et des Pays-Bas.
Même si en IEF, on ne cherche pas à faire des élèves brillants, permettre à nos enfants d’avoir une bonne culture musique peut constituer pour eux un bon bagage.
Il est également prouvé que la participation à la musique augmente la capacité d’une personne à penser de manière abstraite, ce qui serait utile en mathématiques et en sciences. Comme nous l’avons déjà vu, elle contribue également au développement du langage. Enfin, parce que la musique est à la fois rationnelle et abstraite, la musique aide à faire le lien entre les côtés gauche et droit du cerveau.
« La découverte de la relativité restreinte m’est arrivée par intuition, et la musique était la force motrice derrière cette intuition. Ma découverte est le résultat de la perception musicale. » Albert Einstein.
Quelles sont les compétences développées par l’éducation musicale ?
🎵Mémorisation
🎵Concentration
🎵Attention
🎵Synchronisation corporelle
🎵Maîtrise des émotions et du langage
🎵Persévérance et patience
Compétences qui seront appréciés lors des études supérieures !
La musique c’est « socialisant »
« La musique double la vie. » Sully Prudhomme
Faire participer les enfants à des groupes musicaux tels que des chorales, des classes de musique, des ensembles ou des orchestres leur fournit également de merveilleux outils pour leur développement social.
Compétences « sociales » acquises par l’éducation musicale :
🎵Le travail d’équipe
🎵L’humilité
🎵La capacité à bien interagir avec les autres.
🎵Le partage
🎵Le vivre-ensemble
L’éducation musicale, c’est chouette pour le développement émotionnel
La musique est un outil pour nous aider à exprimer nos émotions justes. La musique est un langage supplémentaire pour exprimer ses sentiments.
La musique fournit un langage pour une expression juste de l’émotion, et une bonne musique éduque réellement nos émotions afin qu’elles se développent jusqu’à la maturité.
« La vie est comme un instrument de musique ; il faut la tendre et la relâcher, pour la rendre agréable. » Démophile
L’éducation musicale ouvre l’horizon
En écoutant de la musique, l’enfant est amené à découvrir d’autres cultures. C’est peut-être l’art qui est le plus capable de dépasser les frontières et les langues. Preuve en est, le métissage existant dans tous les styles de musique.
«Une fois que j’ai compris Bach, j’ai voulu être pianiste de concert. C’est grâce à Bach que j’ai consacré ma vie à la musique et c’est lui qui m’a fait découvrir son monde.» Nina Simone
Cela fait maintenant plusieurs années qu’Isableue intervient à l’IFLM. Elle y a donné des cours sur la géographie et désormais incite ses étudiants à concevoir des apprentissages dynamiques et ludiques. Lors de ses multiples interventions, les supports Carpe Diem illustrent régulièrement ses cours et ateliers. Toujours, ils suscitent de l’intérêt et reçoivent un accueil favorable de la part des étudiants. A tel point qu’en février, La Fondation pour l’école, organisatrice du Premier Salon pour la Liberté Scolaire (LIBSCO) a proposé à Carpe Diem de participer à cet événement important. Défi que notre petite association talentueuse a relevé, non sans se demander si nous serions à la hauteur des autres invités ayant pignon sur rue (Libraire des écoles, Jean-qui-rit, Editions Faton… ) !
Le 6 avril 2019, parties de Normandie pour l’une et de Champagne pour l’autre, avec notre matériel dans nos besaces, nos cartes-contact et notre bonne humeur, nous étions fin prêtes pour remplir notre rôle d’ambassadrice de Carpe Diem.
Il fallut (tant bien que mal 😊) fabriquer sur place et sans le confort de notre bureau, le Bing’Océan 3D, monter le jeu sur le cycle des grenouilles dendrobates fabriqué auparavant par Benjamin. Quelques décorations après, une mise en place des tables et un étalage savant des non moins savants lapbooks et jeux en chemise, nous étions enfin prêtes à accueillir le public.
Et quel public ! Les organisateurs attendaient 1000 visiteurs, Carpe Diem et ses lapbooks, les incroyables bonnes idées exposées, les multiples pratiques présentées, les têtes d’affiches de qualité (André Stern, Ramïn Farhangi, Anne Coffinier, etc.) en attirèrent 1300.
De 9 heures à 18 heures, nous n’eûmes de cesse de présenter notre association et ses produits intelligents. Épuisant notre stock de cartes de visite au même titre que notre cerveau, échauffé par le bon accueil que les badauds, professionnels, professeurs, curieux et parents faisaient à nos supports, nous fîmes des rencontres sympathiques et enrichissantes.
Les lapbooks, notebooks et jeux en chemise remportèrent un vif succès. Beaucoup de visiteurs se montrèrent époustouflés par le gain de temps, la diminution du travail de recherches que nos supports pouvaient leur apporter dans la préparation des séquences pédagogiques à l’école ou dans le cadre de l’instruction en familles.
Ceux qui étaient déjà de fervents utilisateurs furent ravis de mettre des visages derrière les lapbooks. Et nous fumes enchantées de les rencontrer.
Ceux qui découvraient pour la première fois nos supports se montrèrent fort intéressés. Ils nous ont d’ores et déjà rejoints en ligne.
Au terme de cette riche journée, nous pouvons affirmer que le déplacement en valait la peine. Nous nous sommes amusées tout en parlant de notre passion des apprentissages épanouissants. Vu l’accueil qui fut fait à notre association, nous sommes fières de vous dire que nos supports dédiés au plaisir d’apprendre ne sont pas prêts de s’éteindre !
Nous vous donnons donc rendez-vous dans quelques temps pour la sortie de nouveaux cours complets, lapbooks, notebooks ou jeux en chemise et peut-être qui sait au prochain Salon de la liberté scolaire en 2021 !
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A fond l’autonomie 
🦓 Un engagement social impératif
Les ressources téléchargeables peuvent être facilement mises à jour ou corrigées en cas d’erreurs ou de nouvelles informations. Il suffit de télécharger la dernière version, ce qui garantit que les apprenants ont toujours accès aux informations les plus récentes. Nous révisions les guides interactifs tous les 2 ans. Dès qu’une satanée coquille (n’est-ce pas Axelle) est décelée, Carpediem s’empresse de reprendre le texte ou les activités pour que nos habitués n’en souffrent pas ! Chez carpediem, nous cultivons la perfectibilité !
1. L’IEF : Y’a pas de honte à aimer ça !
2. N’essayez même pas d’imaginer notre emploi du temps !
3. Les homeschoolers se suivent mais ne se ressemblent pas !
4. On n’est pas qualifiés et c’est tant mieux !
5. Oui, j’assume d’être une mère protectrice !
6. Mes enfants ne savent pas tout, mais je m’en fiche !
7. Je vous promets que mes enfants sont loin d’être ignares !
8. Nos journées font aussi 24 h !
9. Nos enfants ne sont pas des sauvages !
10. Nous ne sommes pas meilleurs que vous !
Le petit est en train de s’effondrer sur la table de la cuisine. Le grand se tape la tête contre les murs au lieu de faire ses exercices de mathématiques. Le chien vomit sur votre parquet en chêne, juste devant vous. On sonne à la porte, ce sont les gens du recensement. Vous aviez oublié qu’ils venaient aujourd’hui. Puis, le petit en profite pour perdre sa dent pendant que vous désespériez que le grand termine ses multiplications. Malheureusement, la dent est tombée dans l’interstice de votre moins rutilent parquet de chêne. Le petit pleure maintenant parce que la petite souris ne pourra pas lui déposer une pièce. Puis… pour couronner le tout… papa passe la porte après une longue journée de travail et demande du SILENCE ! Est-ce que cela ressemble à certaines de vos journées d’instruction en famille ? On vous explique dans cet article comment survivre au homeschooling.
Si le tableau à peine caricatural que nous venons de dépeindre vous est familier, sachez que nous avons remarqué que la meilleure attitude à avoir quand les événements sont plutôt… houleux… est de RIRE ! Avoir le sens de l’humour est un kit de survie pour l’IEF. Votre douance humoristique vous fera rire, pleurer et réaliser que la vie est courte et que le temps passé à instruire nos enfants est précieux, malgré les journées folles que l’on peut vivre. Il y a une solution pour la plupart des choses. La petite souris ne s’est même pas rendu compte qu’on lui avait mis une dent fabriquée avec une gomme découpée ! Bien sûr après, il a fallu réaliser un 
On vous l’a dit dans l’un de nos derniers articles. Chez nous, on est 
Cela peut sembler dérisoire, mais pourtant avoir un bon taille-crayon et plus généralement du bon matériel pour apprendre constitue une vraie bouée de sauvetage ! Quand vous êtes en train de 
Cela devrait aller de soi, mais les parents qui font l’école à la maison (et tous les parents) ont besoin de dormir suffisamment. Mais pourtant bien souvent, je veille tard pour terminer de fouiner sur internet pour trouver LA méga extra parfaite ludo-pédogo activité qu’il me manque pour mon IEF du lendemain. Mais, une nuit de bon sommeil vaut tellement plus que tout ce que j’aurais pu trouver en plissant mes yeux fatigués devant mon écran jusqu’à …point d’heure. Vous qui êtes un parent IEF…vous savez jusqu’à quelle heure nous sommes capables de veiller pour ce genre de recherches. Pourtant une bonne nuit de sommeil est essentielle à la survie de la maman homeschooleuse que je suis ! Et à celle de mes enfants homeschoolés. Parce qu’un parent qui ne dort pas assez aura certainement moins de patience à supporter les petits et gros aléas rencontrés dans une journée d’IEF. Pas vrai le chien, le chat et la p’tite souris ?
Si vous voulez survivre à l’école à la maison, rien de tel que d’en faire une chose amusante. On vous a déjà dit que l’humour était un ingrédient important pour notre survie, mais sans le jeu, on serait tout aussi perdu ! Nous essayons de faire des jeux régulièrement et d’apprendre en jouant. Les journées sont plus gaies et il n’y a pas de contraintes lorsque l’on s’appuie sur des 
Si vous êtes submergés et que vous pensez que vous allez tout droit vers le naufrage de votre IEF
