Un tutoriel pour réaliser les mini-livres des lapbooks

Un tutoriel pour réaliser les mini-livres des lapbooks

On l’aurait parié ! Vous êtes devenus accro aux lapbooks ! Bienvenue au club de celles qui pensent lapbook, qui respirent lapbook, qui n’ont qu’une seule envie : préparer des mini-livres pour réaliser un lapbook, puis encore un autre et puis peut-être encore un petit dernier pour la route !

Ah …et cette forme de mini-livre, ne serait-elle pas chouette pour le énième lapbook ? Bon, on a compris, avant que les mini-livres vous torturent et hantent toutes vos journées, voici un tutoriel pour réaliser tous les mini-livres que vous voudrez.

Il faut dire qu’avec 40 lapbooks, 12 activités en moyenne, cela fait tout de même 480 mini-livres réalisés pour nos supports prêts à l’emploi. Nous allons dire que nous avons une certaine expérience, voire même une expertise certaine ! (suite…)

Des exemples de lapbooks

Des exemples de lapbooks

Ces liens vers des exemples de lapbooks vous permettront de vous faire une idée plus précise sur ce qu’est l’art du lapbooking. (suite…)

Des exemples de lapbooks

5 raisons de devenir accro aux lapbooks

Nous sommes convaincus que la plupart des personnes (enseignants, parents, enfants …) qui ont testé une fois les apprentissages avec un lapbook vont avoir bien du mal à s’en passer maintenant dans leur quotidien. Cela peut vite devenir une addiction. A peine fini celui sur « Le corps humain », il devient indispensable de se régaler dans la création d’un nouveau sur « Le chocolat » ! Vous vous mettez alors à surveiller les passions de vos enfants ou de votre classe. Quels sont leurs centres d’intérêt qui pourraient coller avec le catalogue Carpe Diem ? Avant que vous ne vous en aperceviez, vous parcourez les magazines, les livres en ayant cette réflexion perpétuelle dans un petit coin de votre cerveau (ah ben ça tombe bien, on a un lapbook sur le cerveau !) : « Cela ferait un bon lapbook ! ». (suite…)

Mission : Lapbook Impossible 1

Mission : Lapbook Impossible 1

Voici le témoignage que Sophie (du Québec), une de nos plus fidèles utilisatrices, a bien voulu partager avec nous. Avec plus de 7 ans d’utilisation « addictive» des supports Carpe Diem, nous pouvons dire que c’est une spécialiste! Laissons-lui la parole. (suite…)

Un autre article sur l’étude de l’Histoire…

Un autre article sur l’étude de l’Histoire…

Au gré de nos découvertes, nous ajustons, expérimentons, transformons, adaptons… et nous adoptons aussi ! Certaines méthodes sont intemporelles, d’autres sont des effets de mode, elles ont toutes l’avantage de faire évoluer nos pratiques.
Alors, oui, encore un article sur nos manières de vivre l’Histoire au sein de nos familles, parce que c’est la rentrée et que nous adorons commencer avec du neuf pour entretenir la flamme ! (suite…)

Introduction à l’Art d’Instruire

Introduction à l’Art d’Instruire

Chez Carpe Diem, l’Art d’Instruire nous tient particulièrement à cœur. Enseigner n’est pas seulement connaitre sa/ses matière(s) – c’est nécessaire, mais pas suffisant – c’est aussi et surtout savoir la/les partager, faire comprendre, réutiliser. Être enseignant, c’est tout un Art, qui se peaufine au fil du temps.

(suite…)

Du Latin en IEF pour des racines et du sens !

Du Latin en IEF pour des racines et du sens !

Pourquoi apprendre le Latin en famille ? Voici 10 bonnes raisons de commencer son apprentissage dès le plus jeune âge.

1.       Le Latin nous entraîne à la logique

Le Latin est une langue très logique qui requiert de la précision dans son utilisation. Un enfant qui apprend le Latin s’entraîne naturellement à penser logiquement.

C’est aussi un entraînement au souci du détail et au respect de la règle, qui prépare aux mathématiques et à la programmation. Décoder les déclinaisons et savoir les utiliser permet, plus tard, lorsque l’on est face à des énoncés mathématiques ou à des lignes de code, de trouver la logique à suivre pour résoudre les problèmes. Il aide aussi à comprendre et retenir les termes scientifiques de la médecine ou de la botanique. Cette gymnastique de l’esprit sera un entraînement qui suivra l’enfant dans tous ces futurs apprentissages.

 

2.       Le Latin est un socle solide pour les langues étrangères…

De nombreuses langues sont fondées sur le latin : italien, espagnol, roumain, portugais… L’apprentissage de nouveaux mots devient une véritable partie de plaisir.

 

3.       Le Latin est à la base de notre langue

Comprendre les racines des mots, apprendre un mot nouveau en sachant avec quels mots latins il a été créé… La découverte de l’étymologie, c’est un retour aux sources !  L’étymologie est à la langue française ce qu’est la généalogie à notre identité. Offrir à l’enfant cette clé universelle, c’est lui donner les moyens de déchiffrer et comprendre plus facilement sa langue maternelle.

4.       Le Latin nous aide à décoder nos phrases

L’analyse des fonctions des mots dans une phrase suit la logique impulsée par le Latin. Lorsque l’on sait analyser une phrase en latin, transposer ce savoir sur une phrase en langue française est une évidence. Le Latin est un sésame pour mieux comprendre les méandres syntaxiques et grammaticaux du français.

 

5.       Le Latin facilite la lecture des Classiques de notre littérature

Les mots « compliqués » ne le sont plus.

 

6.       Le Latin est une chasse aux trésors

Décoder un texte en Latin, c’est comme participer à une chasse aux trésors, jouer à l’archéologue des mots, des phrases et des sens…Muni des déclinaisons, des valeurs (génitif, datif etc…) et des règles de syntaxe, l’enfant latiniste aura les outils appropriés pour partir à l’assaut des écritures anciennes et y découvrir des merveilles insoupçonnées jusque-là. Quelle fierté de percer les mystères d’un texte de Cicéron, en menant une version et en décodant les phrases les unes après les autres.  C’est comme si l’on pouvait faire un retour vers le passé (sans Dolorean et sans Mc Fly !) et rencontrer en direct de grands Hommes à travers leurs écrits ou les récits biographiques les concernant.

 

7.       Le Latin est une porte ouverte sur notre Culture

Etudier le Latin, c’est aussi s’immerger dans l’Histoire de la Rome antique, comprendre d’où l’on vient. Emprunter les chemins du latin nous fait retourner aux sources de notre civilisation et nous permet de mieux l’appréhender.

 

8.       Le Latin nous rapproche de nos voisins

Le Latin devient le pont entre les langues dites latines et les cultures de ces pays. Il nous aide à comprendre les analogies et les différences entre les nations aux origines latines.

 

9.       Le Latin est une langue vivante !

Qui a dit que le Latin était une langue morte ? Sans en rendre compte, on l’utilise quotidiennement dans nos conversations :  podium, aquarium, exit, lavabo, vidéo etc….et d’autres  passionnés l’utilisent chaque jour et pas seulement au Vatican !… C’est une sorte d’espéranto qui réunit les Nations romanes.

Et quel plaisir de parler une langue secrète que peu comprennent !

 

10.   Le Latin s’apprend si facilement…

… avec les supports ludiques ! Apprenez quelques mots en jouant à  Courses de chars !

Et on peut même chanter la première déclinaison avec Jacques Brel.

 

 

Quid facis ?

Et si on faisait quelque chose ? Oui, mais en latin !

Puisque toutes les routes mènent à Rome, Carpe Diem n’ira pas par 4 chemins et sans cartes !  Avec ses 36 cartes et son guide, notre jeu mêle ludopédagogie et latinisme. Il permet de retenir en s’amusant pas moins de 36 verbes latins. Conjuguant plaisir d’apprendre et apprentissages intelligents, « Quid Facis » vous rendra imbattable dans la conjugaison des verbes à la première personne du singulier. A vous de voir ce que vous allez faire ! Quid facis ?

Courses de chars

Grimpez sur votre char et partez pour une course trépidante dans le Circus Maximus de la Rome antique. Vous êtes à deux pas du Colisée, entouré des dieux romains et des juges implacables. Pour  remporter le rameau d’olivier, il vous faudra être le premier des chars, à franchir la ligne d’arrivée.  Votre course infernale, sera mêlée d’embûches et d’accidents mais elle ne sera pas vaine car vous elle vous permettra d’apprendre 85 mots latins. Jouez tant que vous voulez et Carpe Diem !

Villa à Pompéi

Revivez la splendeur passée de la ville de Pompéi en fabriquant et décorant une des villas de cette cité disparue. Ornez vos murs de magnifiques fresques et dallez votre demeure de mosaïques ouvragées. Libre à vous de choisir votre technique pour créer le décor entourant votre villa. Sortez vos aquarelles, crayons de couleurs et autres peintures pour faire resurgir de la lave, la magnifique cité romaine.

C’est dans la boîte !

C’est dans la boîte !

C’est dans la boîte !
Pandore, première femme de la mythologie grecque créée sur l’ordre de Zeus, fut offerte comme épouse à Épiméthée, le frère de Prométhée dont le dieu suprême voulait se venger. Épiméthée ne se souvenait pas que son frère lui avait conseillé de ne recevoir aucun présent de Zeus. Pandore arriva donc avec un coffret mystérieux que Zeus lui avait interdit d’ouvrir. Mais la curiosité de Pandore fut plus forte que les avertissements. Elle ouvrit la boîte et libéra tous les maux de l’humanité qui y étaient enfermés. Vieillesse, Guerre, Maladie, Famine, Pauvreté, Passion, Folie, Vice, Tromperie, et Orgueil firent donc leur apparition sur terre. Affolée, elle tenta de refermer la boîte pour les retenir, mais en vain. Seule l’Espérance, plus lente à se manifester, y resta enfermée. Morale de cette histoire : il y a des boîtes qu’il ne faut surtout ni offrir, ni ouvrir. (suite…)

Savez-vous comment les plus grands artistes sont devenus des artistes ?

Savez-vous comment les plus grands artistes sont devenus des artistes ?

Eh bien, cela va vous étonner… ils ont triché ! C’est en commençant par copier des grands maîtres ou leur propre professeur qu’ils ont appris les techniques rudimentaires, pris des habitudes et maîtrisé les premiers gestes utiles à leur art. En copiant ces modèles, ils se sont imprégnés de leurs prédécesseurs, ont appris les bases de leur technique pour pouvoir mieux s’en libérer dans leur maturité. Forts de cet héritage accumulé en copiant, ils ont pu peaufiner leur propre style et donner naissance à des chefs d’œuvres. (suite…)

Vous savez que vous avez un enfant « littéraire » lorsque…

Vous savez que vous avez un enfant « littéraire » lorsque…

 

  • Âgé de 6 ans, vous lui proposez de lire le premier tome de la série des « Cabane magique ». Il vous répond gentiment « Euh…maman je les ai déjà tous lus…». Quelque chose a dû vous échapper. Vous ne saviez pas qu’il savait lire.
  • Lorsque vous le laissez en toute confiance choisir des ouvrages à la médiathèque, vous êtes obligé d’utiliser 3 abonnements pour repartir avec les 30 livres qu’il va lire en 2 semaines.

(suite…)

Vous savez que vous avez un enfant artiste…

Vous savez que vous avez un enfant artiste…

  • Agé de 5 ans ½, il vous réveille à 5h30 pour vous annoncer fièrement : « Tu sais, Maman, la Joconde, qu’on a vue au Louvre, c’est une huile sur panneau de bois de peuplier dans laquelle Léonard de Vinci a utilisé la technique du sfumato ».
  • Tout ce qui lui tombe sous la main se transforme en instrument de musique. Après votre coucher (tardif) vous entendez encore résonner depuis sa chambre, ses 3 flûtes, son violon, son harmonica, son trombone ou sa voix de soprano. Encore heureux qu’il ne possède pas (encore ?) de batterie !

(suite…)

Vous savez que vous avez un enfant « matheux » quand…

Vous savez que vous avez un enfant « matheux » quand…

  • Âgé de 3 ans ½, il vous réveille à 5 heures 30 pour vous annoncer fièrement : « Maman, 1024 + 1024, ça fait 2048 ! »
  • Âgé de 2 ans, il mange sa saucisse coupée en rondelles en faisant des soustractions et des additions. Vous l’entendez réfléchir à haute voix : « j’ai 20 rondelles, si j’en mange 1 j’en aurai 19. Puis si j’en prends 2 en même temps, il m’en restera 17. Ah oui, mais si j’en recrache une ? » .

(suite…)

Vous savez que vous êtes une famille IEF quand…

Vous savez que vous êtes une famille IEF quand…

… Vous connaissez :

  • Les dates des grandes marées pour étudier les strates des falaises d’Étretat
  • Les passages des ferrys pour aller admirer celles de Douvres
  • La cinquième déclinaison du nom en grec ancien (et qu’elle tourne en boucle depuis deux jours dans votre tête – comment on l’arrête ?)
  • La comptine de votre petit dernier, avec deux éléphants qui changent de couleurs au gré de leurs dégustations (et qu’elle tourne en boucle dans votre tête depuis deux jours, se substituant de temps à autre à la cinquième déclinaison… Toujours pas de bouton OFF ?)
  • Les horaires d’ouverture des 5 plus grandes médiathèques dans un rayon de 30 km.
  • La programmation de tous les théâtres et salles de spectacles de votre département.
  • Les horaires de tous les musées de votre ville. Même du Musée de la boîte à sardines !

(suite…)

Les 10 meilleures façons de changer en fiasco votre expérience  de l’IEF

Les 10 meilleures façons de changer en fiasco votre expérience de l’IEF

Véritable aventure, l’instruction en famille est un engagement de tous les instants. Partout chacun y va de ses conseils pour que votre vécu soit un véritable succès. Carpe Diem sort encore des sentiers battus et vous propose aujourd’hui :

10 manières de tout louper.

10 conseils avisés pour saboter votre IEF.

10 ingrédients pour rater votre recette d’enseignement !

  1. Attendez de vos enfants qu’ils apprennent tous de la même façon. Puisqu’ils ont chacun une personnalité qui leur est propre, ils ont certainement un style d’apprentissage bien à eux. Pour tout rater : n’essayez pas de reconnaître le style d’apprentissage de chacun de vos enfants, et ne vous intéressez ni à leur force, ni à leur faiblesse.
  2. Comparez votre « école –maison » avec celle des autres. Votre famille n’est pas identique à celle du voisin. Pour tout rater : comparez sans cesse votre façon d’instruire vos enfants avec la manière de faire des autres familles en IEF.
  3. Soyez inflexible. Les enfants tombent malade, la voiture rend l’âme, la méthode choisie pour enseigner ne convient à personne… Pour tout rater : oubliez totalement que l’IEF est avant tout un art de vivre et soyez ferme à tout prix.
  4. Soyez trop flexible. Vous connaissez l’adage : l’échec de la planification équivaut à la planification de l’échec. Chacun a sa façon de concevoir sa planification : à l’année avec les grandes lignes, au mois avec des thématiques et objectifs plus prononcés, et même au jour le jour avec un emploi du temps très poussé. Une planification souple permet de garder un œil vers l’objectif. Pour tout rater : Ne prévoyez rien, jamais et laissez-vous uniquement porter par l’instant présent.
  5. Obéissez aveuglément au support de cours. Le cours est un outil, et ne dirige pas votre vie. Pour tout rater : Suivez à la lettre toutes les indications, réalisez toutes les activités, n’en laissez passer aucune, même si elle ne convient pas à votre famille ou semble irréalisable dans votre région du monde !
  6. Ne riez jamais. Pour tout rater : ne sortez jamais, ne faites jamais d’activités extérieures, remplissez vos cahiers, du début à la fin.
  7. Mettez du rire partout. Tout n’est pas sujet à plaisanterie, ni ne peut être enseigné en jouant. Pour tout rater : épuisez-vous à trouver des façons drôles d’enseigner tous les sujets et cachez la réalité à vos enfants : la vie n’est pas toujours drôle.
  8. Ne quittez jamais la maison.Pour tout rater : ne sortez jamais. Aménagez votre cave pour que rien ne dérange l’apprentissage de vos enfants, surtout pas le soleil ou le cui-cui des oiseaux.
  9. Ne soyez jamais à la maison. Pour tout rater : prévoyez de n’être jamais à la maison. Inscrivez enfants et famille à pléthore d’activités : sports, cours de tricot, scouts, course d’orientation, stage d’équitation…
  10. Ne demandez jamais d’aide. Pour tout rater : n’échanger jamais avec d’autres familles en IEF, ne vous renseignez jamais sur les sorties possibles en groupe, ne demandez jamais l’aide de professeurs lorsqu’une notion vous échappe…

Et surtout pour réussir, ne suivez aucun de ces 10 conseils. Partagez plutôt avec nous vos propres façons de tout rater 🙂 !